Pourquoi le second contingent arrive ce jeudi alors qu’il avait été annoncé pour mercredi ?
L’aéroport était fermé. Ce n’est qu’hier, mercredi, qu’il a été ouvert par les autorités centrafricaines. Nous avons pris les dispositions pour sécuriser nos compatriotes qui arrivaient sur un site bien précis. Avec le concours de l’opération Sangaris, de la Misca, ils ont été sécurisés et conduits à l’aéroport.
Sont-ils tous Ivoiriens ?
Il y a eu des infiltrés que nous avons retirés. Nous avons procédé à des tris pour enlever ces non-Ivoiriens. Et nous nous sommes rassurés que ceux qui sont arrivés ont des parents en Côte d’Ivoire, et précisément à Abidjan.
Comment se fera le transfert des vingt-cinq autres restés à Bangui?
Je ne suis qu’un exécutant ; cette question mérite d’être posée aux autorités ivoiriennes.
Que s’est-il passé concrètement à Bangui le mardi?
L’aéroport est devenu un camp. Plus de 100 mille personnes étaient retranchées autour. Ce sont ces personnes qui, dans la frayeur des tirs, avaient envahi les barbelés installés par l’opération Sangaris en vue de se protéger contre les tirs.
Quelle peut être l’issue de la crise en Centrafrique?
Je ne saurai vous le dire, mais retenons que c’est un cycle régulier que ce pays traverse. Depuis le décès de Barthelemy Boganda, André Kolingba, Patassé ou autres (présidents, Ndlr), c’est un cycle qui se répète. Donc dire de quoi sera fait l’avenir de ce pays, c’est être prétentieux.
ED (stagiaire)
L’aéroport était fermé. Ce n’est qu’hier, mercredi, qu’il a été ouvert par les autorités centrafricaines. Nous avons pris les dispositions pour sécuriser nos compatriotes qui arrivaient sur un site bien précis. Avec le concours de l’opération Sangaris, de la Misca, ils ont été sécurisés et conduits à l’aéroport.
Sont-ils tous Ivoiriens ?
Il y a eu des infiltrés que nous avons retirés. Nous avons procédé à des tris pour enlever ces non-Ivoiriens. Et nous nous sommes rassurés que ceux qui sont arrivés ont des parents en Côte d’Ivoire, et précisément à Abidjan.
Comment se fera le transfert des vingt-cinq autres restés à Bangui?
Je ne suis qu’un exécutant ; cette question mérite d’être posée aux autorités ivoiriennes.
Que s’est-il passé concrètement à Bangui le mardi?
L’aéroport est devenu un camp. Plus de 100 mille personnes étaient retranchées autour. Ce sont ces personnes qui, dans la frayeur des tirs, avaient envahi les barbelés installés par l’opération Sangaris en vue de se protéger contre les tirs.
Quelle peut être l’issue de la crise en Centrafrique?
Je ne saurai vous le dire, mais retenons que c’est un cycle régulier que ce pays traverse. Depuis le décès de Barthelemy Boganda, André Kolingba, Patassé ou autres (présidents, Ndlr), c’est un cycle qui se répète. Donc dire de quoi sera fait l’avenir de ce pays, c’est être prétentieux.
ED (stagiaire)