Abidjan – Pour leur permettre de jouer efficacement leur rôle, les membres des comités de gestion des litiges de la filière coton ont participé, dans la dernière décade de décembre, à Bouaké, Korhogo et Boundiali, à trois ateliers de formation initiés par l’INTERCOTON.
Selon un communiqué de presse de l’Association interprofessionnelle de la filière coton (INTERCOTON) transmis à l’AIP, ces formations s’inscrivent dans le cadre du projet d’appui institutionnel financé par l’Union Européenne, N° FED : 2012/293-221 dit de « renforcement de la prise en charge interprofessionnelle des services indivisibles rendus à la filière coton ».
Dans sa politique de développement de la filière cotonnière ivoirienne, l’INTERCOTON a mis en place, depuis la campagne 2011/2012, le Système d’identification des producteurs et de traçabilité de la production du coton (SITRACOT). Cet outil de gestion démontre, au fil des campagnes, sa pertinence, d’autant plus qu’il a permis de réduire considérablement les cas de fraude, en plus de fournir des statistiques fiables sur la filière.
Aussi, pour le règlement des éventuels cas de litiges, des comités de gestion ont été mis en place dans les localités qui abritent les usines d’égrenage. Ils sont présidés par les membres du corps préfectoral et composés des principales parties prenantes du système de commercialisation du coton graine, toutes bénéficiaires de ces ateliers.
(AIP)
kkp/cmas
Selon un communiqué de presse de l’Association interprofessionnelle de la filière coton (INTERCOTON) transmis à l’AIP, ces formations s’inscrivent dans le cadre du projet d’appui institutionnel financé par l’Union Européenne, N° FED : 2012/293-221 dit de « renforcement de la prise en charge interprofessionnelle des services indivisibles rendus à la filière coton ».
Dans sa politique de développement de la filière cotonnière ivoirienne, l’INTERCOTON a mis en place, depuis la campagne 2011/2012, le Système d’identification des producteurs et de traçabilité de la production du coton (SITRACOT). Cet outil de gestion démontre, au fil des campagnes, sa pertinence, d’autant plus qu’il a permis de réduire considérablement les cas de fraude, en plus de fournir des statistiques fiables sur la filière.
Aussi, pour le règlement des éventuels cas de litiges, des comités de gestion ont été mis en place dans les localités qui abritent les usines d’égrenage. Ils sont présidés par les membres du corps préfectoral et composés des principales parties prenantes du système de commercialisation du coton graine, toutes bénéficiaires de ces ateliers.
(AIP)
kkp/cmas