ABIDJAN - Le président de la Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, qui a été opéré pour une sciatique en France, se porte bien, a-t-on
appris dimanche auprès de la présidence ivoirienne.
L’intervention chirurgicale, "liée à une sciatique", "s’est bien déroulée"
et "le chef de l’Etat se porte bien", peut-on lire dans un communiqué de la présidence ivoirienne reçu dimanche par l’AFP.
Alassane Ouattara "regagnera la Côte d’Ivoire après une période de repos", poursuit ce texte.
L’opération, faite en France, a été qualifiée de "bénigne" par un proche de la présidence, interrogé par l’AFP, qui n’a pas souhaité donner davantage de détails.
Alassane Ouattara, âgé de 72 ans, a été élu président en décembre 2010 au terme d’une décennie de crise politico-militaire. Il a déjà annoncé sa candidature pour la prochaine élection, qui se tiendra en octobre 2015.
Son prédécesseur Laurent Gbagbo, accusé par la Cour pénale internationale de "crimes contre l’humanité", est enfermé depuis plus de deux ans à La Haye.
Le début du mandat présidentiel est caractérisé par une forte croissance économique, de multiples réformes en ce sens, mais les bailleurs critiquent un "manque de courage" du chef de l’Etat dans certaines décisions plus politiques, notamment en terme de justice post-crise.
jf/de
appris dimanche auprès de la présidence ivoirienne.
L’intervention chirurgicale, "liée à une sciatique", "s’est bien déroulée"
et "le chef de l’Etat se porte bien", peut-on lire dans un communiqué de la présidence ivoirienne reçu dimanche par l’AFP.
Alassane Ouattara "regagnera la Côte d’Ivoire après une période de repos", poursuit ce texte.
L’opération, faite en France, a été qualifiée de "bénigne" par un proche de la présidence, interrogé par l’AFP, qui n’a pas souhaité donner davantage de détails.
Alassane Ouattara, âgé de 72 ans, a été élu président en décembre 2010 au terme d’une décennie de crise politico-militaire. Il a déjà annoncé sa candidature pour la prochaine élection, qui se tiendra en octobre 2015.
Son prédécesseur Laurent Gbagbo, accusé par la Cour pénale internationale de "crimes contre l’humanité", est enfermé depuis plus de deux ans à La Haye.
Le début du mandat présidentiel est caractérisé par une forte croissance économique, de multiples réformes en ce sens, mais les bailleurs critiquent un "manque de courage" du chef de l’Etat dans certaines décisions plus politiques, notamment en terme de justice post-crise.
jf/de