Dimbokro – Une mission de l’Agence d’études et de promotion de l’emploi (Agepe) a eu, mercredi, à Dimbokro, au siège régional de cette structure, une rencontre d’informations et d’échanges avec les associations de jeunes sur le financement de leurs projets et la disponibilité des fonds.
Selon M. Gadji N’Guessan, responsable programmes au département des activités génératrices de revenus à l’Agepe, ces projets concernent les secteurs de l’agriculture et de l’agropastoral pour des personnes à risque, démunies.
« C’est une contribution à l’insertion par l’auto-emploi, afin que les jeunes diplômés ou non se prennent en charge. Les bénéficiaires âgés de 18 à 40 ans seront encadrés pour réussir leurs projets. Bref, il s’agit d’aider à l’auto emploi pour résorber le chômage. Les financements sont gratuits et sont de 500 000 FCFA pour des projets individuels et 8 000 000 FCFA pour des projets de groupes », a-t-il exposé.
Selon M. Gadji, s’il est avéré que le bénéficiaire a utilisé à d’autres fins le fonds à lui alloué, il sera tenu de rembourser l’intégralité. Pour les autres activités, d’autres fonds sont disponibles et sont remboursables.
Pour bénéficier des fonds pour des projets individuels, il faut être Ivoirien, résider dans la localité où se fera le projet, remplir des formulaires de demande, de plan d’affaires et de fiche d’identification disponibles gracieusement dans les 12 directions régionales de l’Agepe ou dans les mairies et sous-préfectures, joindre à ces documents la photocopie d’une pièce d’identité et une photo d’identité et une attestation relative à la propriété de la surface à exploiter.
Idem pour des projets collectifs avec en sus la production d’un exemplaire des statuts et règlement intérieur, d’un récépissé, la liste des membres du bureau.
« Les fonds accordés seront déposés dans une banque et seront utilisés sous la surveillance de l’Agepe qui cosignera les retraits. Dans les deux cas, produire des factures pro-forma pour les achats effectués », a expliqué M. Gadji, insistant qu’il faut au moins 30% de jeunes femmes dans la conduite de ces projets. »
« En dehors de ces projets réalisables dans le cadre du Contrat de désendettement-développement (C2D) de la France à travers l’Agence française de développement (AFD), la Banque mondiale, plusieurs autres fonds existent avec des montants variés et élevés mais sont remboursables », a précisé M.Gadji.
zgrp/ask
Selon M. Gadji N’Guessan, responsable programmes au département des activités génératrices de revenus à l’Agepe, ces projets concernent les secteurs de l’agriculture et de l’agropastoral pour des personnes à risque, démunies.
« C’est une contribution à l’insertion par l’auto-emploi, afin que les jeunes diplômés ou non se prennent en charge. Les bénéficiaires âgés de 18 à 40 ans seront encadrés pour réussir leurs projets. Bref, il s’agit d’aider à l’auto emploi pour résorber le chômage. Les financements sont gratuits et sont de 500 000 FCFA pour des projets individuels et 8 000 000 FCFA pour des projets de groupes », a-t-il exposé.
Selon M. Gadji, s’il est avéré que le bénéficiaire a utilisé à d’autres fins le fonds à lui alloué, il sera tenu de rembourser l’intégralité. Pour les autres activités, d’autres fonds sont disponibles et sont remboursables.
Pour bénéficier des fonds pour des projets individuels, il faut être Ivoirien, résider dans la localité où se fera le projet, remplir des formulaires de demande, de plan d’affaires et de fiche d’identification disponibles gracieusement dans les 12 directions régionales de l’Agepe ou dans les mairies et sous-préfectures, joindre à ces documents la photocopie d’une pièce d’identité et une photo d’identité et une attestation relative à la propriété de la surface à exploiter.
Idem pour des projets collectifs avec en sus la production d’un exemplaire des statuts et règlement intérieur, d’un récépissé, la liste des membres du bureau.
« Les fonds accordés seront déposés dans une banque et seront utilisés sous la surveillance de l’Agepe qui cosignera les retraits. Dans les deux cas, produire des factures pro-forma pour les achats effectués », a expliqué M. Gadji, insistant qu’il faut au moins 30% de jeunes femmes dans la conduite de ces projets. »
« En dehors de ces projets réalisables dans le cadre du Contrat de désendettement-développement (C2D) de la France à travers l’Agence française de développement (AFD), la Banque mondiale, plusieurs autres fonds existent avec des montants variés et élevés mais sont remboursables », a précisé M.Gadji.
zgrp/ask