Deux mini-bus ont subi vendredi une attaque d'inconnus armés sur l'axe Gagnoa-Soubré (centre-ouest), faisant plusieurs blessés dont des cas graves parmi les occupants, ont confié des habitants à Xinhua.
A en croire ceux-ci, les engins ont essuyé des tirs nourris après qu'ils furent tombés dans une embuscade tendue par des inconnus lourdement armés.
Les inconnus qui ont délesté plusieurs occupants des mini-bus se sont évaporés dans la nature après leur forfait.
Plusieurs jours auparavant, des camions et véhicules particuliers ont été la cible des individus armés sur le même axe.
Les bandes armées appelés communément "coupeurs de route" sévissent sur des routes de plusieurs régions du pays, notamment le nord, l'ouest et le centre.
Des convois officiels et des patrouilles des forces de sécurité ont même été attaqués par ces quidams dans des localités du centre et du nord, faisant plusieurs tués parmi les civils et les militaires.
Face à la persistance du phénomène, les autorités ivoiriennes ont pris le taureau par les cornes et ont décidé de prendre des mesures d'envergure.
Sous leur houlette, des unités d'élite ont commencé leur déploiement à l'intérieur du pays dans le but de freiner les agissements des bandes armées.
Par ailleurs, une opération militaire baptisée "Téré" a été également initiée pour juguler le fléau, et l'action conjuguée des soldats et gendarmes a permis de démanteler plusieurs bandes armées.
A en croire ceux-ci, les engins ont essuyé des tirs nourris après qu'ils furent tombés dans une embuscade tendue par des inconnus lourdement armés.
Les inconnus qui ont délesté plusieurs occupants des mini-bus se sont évaporés dans la nature après leur forfait.
Plusieurs jours auparavant, des camions et véhicules particuliers ont été la cible des individus armés sur le même axe.
Les bandes armées appelés communément "coupeurs de route" sévissent sur des routes de plusieurs régions du pays, notamment le nord, l'ouest et le centre.
Des convois officiels et des patrouilles des forces de sécurité ont même été attaqués par ces quidams dans des localités du centre et du nord, faisant plusieurs tués parmi les civils et les militaires.
Face à la persistance du phénomène, les autorités ivoiriennes ont pris le taureau par les cornes et ont décidé de prendre des mesures d'envergure.
Sous leur houlette, des unités d'élite ont commencé leur déploiement à l'intérieur du pays dans le but de freiner les agissements des bandes armées.
Par ailleurs, une opération militaire baptisée "Téré" a été également initiée pour juguler le fléau, et l'action conjuguée des soldats et gendarmes a permis de démanteler plusieurs bandes armées.