Abidjan – La section ivoirienne du Réseau d’action sur les armes légères en Afrique de l’Ouest (RASALAO-CI) condamne "fermement" l’attaque, le 23 février de la localité de Grabo, Sud-Ouest (région de San Pedro) par des individus armés non identifiés et appelle au désarmement et à la lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre.
"Le RASALAO-CI condamne fermement tout usage illégal d’armes à feu, surtout cette autre attaque armée qui est de nature à troubler fortement la quiétude des populations", indique un communiqué du RASALAO, parvenu mardi à l’AIP.
Le RASALAO-CI qui dit rester convaincu que "la paix, la sécurité et le développement passent par une politique efficace de désarmement civil et de lutte contre la prolifération illicite des armes légères et de petit calibre", appelle à l’adoption de la loi sur les armes légères et de petit calibre (ALPC) pour régler la question de la détention illégale d’armes à feu.
Le réseau invite également les populations transfrontalières à collaborer avec les services de sécurité pour la surveillance de la frontière entre le Libéria et la Côte d’Ivoire et la communauté internationale à apporter le soutien logistique et militaire nécessaire pour prévenir de telles attaques.
L’attaque dans la nuit du 22 au 23 février 2014 du village de Faiteh puis de la ville de Grabo, dans le Sud-ouest du pays, à la frontière avec le Liberia avait fait cinq morts dont quatre éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et un assaillant et causé de nombreux blessés parmi les civils, rappelle-t-on.
(AIP)
aaa/ask
"Le RASALAO-CI condamne fermement tout usage illégal d’armes à feu, surtout cette autre attaque armée qui est de nature à troubler fortement la quiétude des populations", indique un communiqué du RASALAO, parvenu mardi à l’AIP.
Le RASALAO-CI qui dit rester convaincu que "la paix, la sécurité et le développement passent par une politique efficace de désarmement civil et de lutte contre la prolifération illicite des armes légères et de petit calibre", appelle à l’adoption de la loi sur les armes légères et de petit calibre (ALPC) pour régler la question de la détention illégale d’armes à feu.
Le réseau invite également les populations transfrontalières à collaborer avec les services de sécurité pour la surveillance de la frontière entre le Libéria et la Côte d’Ivoire et la communauté internationale à apporter le soutien logistique et militaire nécessaire pour prévenir de telles attaques.
L’attaque dans la nuit du 22 au 23 février 2014 du village de Faiteh puis de la ville de Grabo, dans le Sud-ouest du pays, à la frontière avec le Liberia avait fait cinq morts dont quatre éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et un assaillant et causé de nombreux blessés parmi les civils, rappelle-t-on.
(AIP)
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