Abidjan– Un nouveau projet intitulé « L’eau au service de la croissance et de la lutte contre la pauvreté dans le bassin transfrontalier de la rivière Mékrou » sera lancé le 18 mars à Ouagadougou, sous la présidence de la ministre de l’Eau, des Aménagements hydrauliques et de l’Assainissement du Burkina Faso.
Selon un communiqué de presse du Partenariat mondial de l’EAU (GWP, Global Water partnership) transmis à l’AIP, ce projet pilote pour le bassin transfrontalier de la rivière Mékrou vise à développer des outils et des méthodes de planification dans le contexte de la gestion intégrée des ressources en eau, afin de permettre aux décideurs politiques et aux responsables de la gestion de l’eau de faire face aux défis complexes auxquels le bassin est confronté.
Le bassin de la Mékrou est un sous-bassin du bassin du fleuve Niger et couvre une zone de 10.500 km², soit à peu près 3 % de la zone totale du bassin du Niger. Il s’étend sur trois pays à savoir le Bénin, le Burkina Faso et le Niger, et comprend 36 % de terres cultivées et 20 % de terres alternant entre terres agricoles et végétation sèche.
Dans le bassin de la rivière Mékrou, comme dans de nombreux pays en Afrique, la variabilité du climat est élevée et les investissements liés à l’eau sont relativement limités. La sécheresse en Afrique sub-saharienne représente un risque climatique majeur, menaçant l’agriculture, l’économie et les conditions de vie des habitants.
Pour répondre au défi des gouvernements et gestionnaires de l’eau de trouver le juste équilibre entre croissance et développement durable, une connaissance approfondie des spécificités sociales, économiques et politiques du bassin de la Mékrou est nécessaire.
Ce projet de quatre ans, financé par la Commission de l’Union Européenne, se veut un véritable outil de synergie d’actions pour la gestion du bassin. Il sera mis en œuvre par les acteurs nationaux et locaux de l’Afrique de l’Ouest avec le soutien du Partenariat Mondial de l’Eau (GWP) Afrique de l’Ouest pour les aspects institutionnels et le service interne de la Commission Européenne, le Centre Commun de Recherche (JRC), pour les aspects techniques.
Les principaux acteurs et bénéficiaires du projet sont les gouvernements et les autorités en charge de l’eau des trois pays partageant le bassin de la rivière de la Mékrou que sont le Bénin, le Burkina Faso et le Niger.
kkp/cmas
Selon un communiqué de presse du Partenariat mondial de l’EAU (GWP, Global Water partnership) transmis à l’AIP, ce projet pilote pour le bassin transfrontalier de la rivière Mékrou vise à développer des outils et des méthodes de planification dans le contexte de la gestion intégrée des ressources en eau, afin de permettre aux décideurs politiques et aux responsables de la gestion de l’eau de faire face aux défis complexes auxquels le bassin est confronté.
Le bassin de la Mékrou est un sous-bassin du bassin du fleuve Niger et couvre une zone de 10.500 km², soit à peu près 3 % de la zone totale du bassin du Niger. Il s’étend sur trois pays à savoir le Bénin, le Burkina Faso et le Niger, et comprend 36 % de terres cultivées et 20 % de terres alternant entre terres agricoles et végétation sèche.
Dans le bassin de la rivière Mékrou, comme dans de nombreux pays en Afrique, la variabilité du climat est élevée et les investissements liés à l’eau sont relativement limités. La sécheresse en Afrique sub-saharienne représente un risque climatique majeur, menaçant l’agriculture, l’économie et les conditions de vie des habitants.
Pour répondre au défi des gouvernements et gestionnaires de l’eau de trouver le juste équilibre entre croissance et développement durable, une connaissance approfondie des spécificités sociales, économiques et politiques du bassin de la Mékrou est nécessaire.
Ce projet de quatre ans, financé par la Commission de l’Union Européenne, se veut un véritable outil de synergie d’actions pour la gestion du bassin. Il sera mis en œuvre par les acteurs nationaux et locaux de l’Afrique de l’Ouest avec le soutien du Partenariat Mondial de l’Eau (GWP) Afrique de l’Ouest pour les aspects institutionnels et le service interne de la Commission Européenne, le Centre Commun de Recherche (JRC), pour les aspects techniques.
Les principaux acteurs et bénéficiaires du projet sont les gouvernements et les autorités en charge de l’eau des trois pays partageant le bassin de la rivière de la Mékrou que sont le Bénin, le Burkina Faso et le Niger.
kkp/cmas