Pierre Adam’s est une grande Dame de la musique africaine. Longtemps elle a séjourné en Côte d’Ivoire où elle a rencontré du succès. Elle s’est prêtée aux questions de L’IA
Qu’est ce que ça vous fait de revenir en Côte d’Ivoire, après toutes ces années ?
J’ai vécu ici pendant des années, en même temps, je ne suis jamais partie de ce pays parce qu’il y a quelque chose de fort qui me lie à la Côte d’Ivoire. Et je peux vous assurer que je suis toujours de cœur avec les Ivoiriens malgré tout ce qui se dit et tout ce qui s’est passé.
Vous êtes là dans le cadre des activités de la Fondation Children Of Africa. Que ressentez-vous en posant des actes en faveur des enfants ?
C’est toujours un plaisir pour moi de me déplacer lorsqu’on parle des enfants. Etre avec eux est quelque chose qui me tient à cœur. C’est pour cela que j’ai toujours travaillé avec des structures qui œuvrent en faveur et pour le bien-être des enfants surtout les plus démunis. Lorsque nous sommes invités, nous faisons ce que les enfants attendent de nous.
On peut s’attendre à ce que vous créez une ONG dans l’avenir ?
Peut-être. Cela demande beaucoup de travail et de temps. Pour l’instant je préfère intervenir avec les Fondations et associations qui m’invitent à venir donner un coup de main, et à les soutenir. En même temps, je peux le dire, que ce genre d’activité peut nous ouvrir des portes.
Vous êtes à quel niveau en ce qui concerne la musique?
Je suis à mon septième album sorti en 2013. Il parle de beaucoup de choses dont l’amour naturellement, de balade. Le tout sur le rythme de Zouk, un peu de Coupé décalé, du N’domolo. En réalité, je suis restée dans la même ligne que j’ai toujours utilisé dans mes chansons.
M.P.K.
Qu’est ce que ça vous fait de revenir en Côte d’Ivoire, après toutes ces années ?
J’ai vécu ici pendant des années, en même temps, je ne suis jamais partie de ce pays parce qu’il y a quelque chose de fort qui me lie à la Côte d’Ivoire. Et je peux vous assurer que je suis toujours de cœur avec les Ivoiriens malgré tout ce qui se dit et tout ce qui s’est passé.
Vous êtes là dans le cadre des activités de la Fondation Children Of Africa. Que ressentez-vous en posant des actes en faveur des enfants ?
C’est toujours un plaisir pour moi de me déplacer lorsqu’on parle des enfants. Etre avec eux est quelque chose qui me tient à cœur. C’est pour cela que j’ai toujours travaillé avec des structures qui œuvrent en faveur et pour le bien-être des enfants surtout les plus démunis. Lorsque nous sommes invités, nous faisons ce que les enfants attendent de nous.
On peut s’attendre à ce que vous créez une ONG dans l’avenir ?
Peut-être. Cela demande beaucoup de travail et de temps. Pour l’instant je préfère intervenir avec les Fondations et associations qui m’invitent à venir donner un coup de main, et à les soutenir. En même temps, je peux le dire, que ce genre d’activité peut nous ouvrir des portes.
Vous êtes à quel niveau en ce qui concerne la musique?
Je suis à mon septième album sorti en 2013. Il parle de beaucoup de choses dont l’amour naturellement, de balade. Le tout sur le rythme de Zouk, un peu de Coupé décalé, du N’domolo. En réalité, je suis restée dans la même ligne que j’ai toujours utilisé dans mes chansons.
M.P.K.