Le 44è sommet ordinaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) s’est ouvert, vendredi, dans la capitale politique et administrative de la Côte d’Ivoire, Yamoussoukro en présence de 14 Chefs d’Etat de la sous-région ouest-africaine.
Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Ibrahim Boubacar Kéïta (Mali), Goodluck Jonathan (Nigéria), Yahya Jammeh (Gambie), Sérifo Namandjo (Guinée Bissau), John Dramani Mahama (Ghana), Ellen Johnson Sirleaf (Libéria), Ernest Bai Koroma (Sierra Léone), Mahamadou Issoufou (Niger), Macky Sall (Sénégal), Alpha Condé (Guinée), Thomas Yayi Boni (Bénin) et Jorge Carlos Fonseca (Cap Vert) participent à ce sommet qui s’achève samedi. Sauf Faure Gnassingbé (Togo) a manqué à l’appelle de Yamoussoukro.
Ce 44è sommet ordinaire de la CEDEAO sera marqué par le point des situations de sortie de crise au Mali et en Guinée Bissau mais aussi la finalisation de l’accord de partenariat économique (APE) Afrique de l’Ouest-Union européenne ainsi que l’élection d’un nouveau président à la tête de l’organisation sous-régionale.
Dans son discours d’ouverture, le président sortant de la conférence des chefs d’Etat, l’Ivoirien Alassane Ouattara s’est réjoui du bilan de la CEDEAO ces dernières années.
"A l’heure du bilan, nous pouvons nous réjouir (....) de la CEDEAO qui a gagné le respect de la communauté internationale", a-t-il déclaré en soulignant la résolution de la crise malienne marquée par l’élection du président Ibrahim Boubacar Kéïta.
En Guinée Bissau, a poursuivi M. Ouattara "nous sommes en passe de rétablir l’ordre constitutionnel" avec l’élection présidentielle qui aura lieu dans deux semaines.
Le Chef de l’Etat ivoirien, s’est également réjoui des avancées notables enregistrées dans le cadre des négociations sur les APE.
La cérémonie d’ouverture a fait place à une séance à huis clos avec six points à l’ordre du jour. Il s’agit du rapport annuel du président de la Commission de la CEDEAO, celui de la 71è session du conseil des ministres, les rapports de la 12è et 13è session extraordinaire du conseil des ministres ainsi que le rapport de la 31è réunion du conseil de médiation et de sécurité, et enfin la situation en Guinée Bissau.
Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Ibrahim Boubacar Kéïta (Mali), Goodluck Jonathan (Nigéria), Yahya Jammeh (Gambie), Sérifo Namandjo (Guinée Bissau), John Dramani Mahama (Ghana), Ellen Johnson Sirleaf (Libéria), Ernest Bai Koroma (Sierra Léone), Mahamadou Issoufou (Niger), Macky Sall (Sénégal), Alpha Condé (Guinée), Thomas Yayi Boni (Bénin) et Jorge Carlos Fonseca (Cap Vert) participent à ce sommet qui s’achève samedi. Sauf Faure Gnassingbé (Togo) a manqué à l’appelle de Yamoussoukro.
Ce 44è sommet ordinaire de la CEDEAO sera marqué par le point des situations de sortie de crise au Mali et en Guinée Bissau mais aussi la finalisation de l’accord de partenariat économique (APE) Afrique de l’Ouest-Union européenne ainsi que l’élection d’un nouveau président à la tête de l’organisation sous-régionale.
Dans son discours d’ouverture, le président sortant de la conférence des chefs d’Etat, l’Ivoirien Alassane Ouattara s’est réjoui du bilan de la CEDEAO ces dernières années.
"A l’heure du bilan, nous pouvons nous réjouir (....) de la CEDEAO qui a gagné le respect de la communauté internationale", a-t-il déclaré en soulignant la résolution de la crise malienne marquée par l’élection du président Ibrahim Boubacar Kéïta.
En Guinée Bissau, a poursuivi M. Ouattara "nous sommes en passe de rétablir l’ordre constitutionnel" avec l’élection présidentielle qui aura lieu dans deux semaines.
Le Chef de l’Etat ivoirien, s’est également réjoui des avancées notables enregistrées dans le cadre des négociations sur les APE.
La cérémonie d’ouverture a fait place à une séance à huis clos avec six points à l’ordre du jour. Il s’agit du rapport annuel du président de la Commission de la CEDEAO, celui de la 71è session du conseil des ministres, les rapports de la 12è et 13è session extraordinaire du conseil des ministres ainsi que le rapport de la 31è réunion du conseil de médiation et de sécurité, et enfin la situation en Guinée Bissau.