Le chef de la Mission de l’Union africaine (UA) pour le Mali et le Sahel (MISAHEL), Pierre Buyoya, a appelé le Mali à lancer les pourparlers inclusifs, à l'ouverture vendredi du 44ème Sommet de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne.
Dans son discours prononcé é l'occasion de la cérémonie d'ouverture du Sommet, M. Buyoya représentant la présidente de la Commission de l'UA, le Dr Nkosazana Dlamini Zuma, a adressé ses félicitations au Gouvernement et au peuple du Mali pour les progrés remarquables accomplis en é peine un an.
éParmi ces progrés, l'on peut citer les efforts dans la promotion de la réconciliation nationale, é travers notamment des consultations populaires dans le pays et les actions préliminaires et préparatoires au lancement des pourparlers inclusifs ainsi que les mesures de confiance, comme la libération de prisonniers identifiés par les mouvements armés et la levée des mandats d'arrét frappant certains leaders de mouvements armés é, a-t-il soulignée.
A cet égard, malgré les défis qui demeurent é relever, le chef de la MISAHEL et Haut représentant de l'UA pour le Mali et le Sahel a appelé les autorités maliennes éé aller de l'avant, notamment avec le lancement des pourparlers inclusifs tout en assumant le réle de leadership dans ce processus é.
M. Buyoya a également félicité la CEDEAO pour son engagement constant et qualitatif dans la sous-région ouest-africaine surtout au Mali dans la résolution et la sortie de crise.
L'UA continuera é étravailler avec la représentation spéciale de la CEDEAO au Mali, main dans la main, pour appuyer les efforts des autorités pour la mise en éuvre effective de l'Accord de Ouagadougoué.
Il n'a pas manqué, é cette occasion, de rappeler l'orientation désormais régionale de la MISAHEL é travers la mise en éuvre de la Stratégie de l'UA pour la région du Sahel qui prévoit des actions concrétes pour la gouvernance, la sécurité et le développement.
Cette dimension régionale est aussi reflétée dans le Processus de Nouakchott, une initiative pour renforcer la coopération entre les pays du Sahel en vue de contenir le crime transfrontalier et le terrorisme.
Cette 44éme session ordinaire de la Conférence des chefs déEtat et de gouvernement de la CEDEAO, qui séest ensuite poursuivie é huis clos et qui séachévera samedi 29 mars en début déaprés-midi, se choisira un nouveau président en exercice é la place de M. Alassane Ouattara.
Elle séintéressera aussi é la situation au Mali et en Guinée-Bissau sur la base, é chaque fois, déun mémorandum du président de la Commission de la CEDEAO. Sur le Mali en particulier, les chefs déEtat auront droit é un point de la part du médiateur, Blaise Compaoré du Burkina Faso, et du co-médiateur, Goodluck Ebele Jonathan du Nigéria.
LS/APA
Dans son discours prononcé é l'occasion de la cérémonie d'ouverture du Sommet, M. Buyoya représentant la présidente de la Commission de l'UA, le Dr Nkosazana Dlamini Zuma, a adressé ses félicitations au Gouvernement et au peuple du Mali pour les progrés remarquables accomplis en é peine un an.
éParmi ces progrés, l'on peut citer les efforts dans la promotion de la réconciliation nationale, é travers notamment des consultations populaires dans le pays et les actions préliminaires et préparatoires au lancement des pourparlers inclusifs ainsi que les mesures de confiance, comme la libération de prisonniers identifiés par les mouvements armés et la levée des mandats d'arrét frappant certains leaders de mouvements armés é, a-t-il soulignée.
A cet égard, malgré les défis qui demeurent é relever, le chef de la MISAHEL et Haut représentant de l'UA pour le Mali et le Sahel a appelé les autorités maliennes éé aller de l'avant, notamment avec le lancement des pourparlers inclusifs tout en assumant le réle de leadership dans ce processus é.
M. Buyoya a également félicité la CEDEAO pour son engagement constant et qualitatif dans la sous-région ouest-africaine surtout au Mali dans la résolution et la sortie de crise.
L'UA continuera é étravailler avec la représentation spéciale de la CEDEAO au Mali, main dans la main, pour appuyer les efforts des autorités pour la mise en éuvre effective de l'Accord de Ouagadougoué.
Il n'a pas manqué, é cette occasion, de rappeler l'orientation désormais régionale de la MISAHEL é travers la mise en éuvre de la Stratégie de l'UA pour la région du Sahel qui prévoit des actions concrétes pour la gouvernance, la sécurité et le développement.
Cette dimension régionale est aussi reflétée dans le Processus de Nouakchott, une initiative pour renforcer la coopération entre les pays du Sahel en vue de contenir le crime transfrontalier et le terrorisme.
Cette 44éme session ordinaire de la Conférence des chefs déEtat et de gouvernement de la CEDEAO, qui séest ensuite poursuivie é huis clos et qui séachévera samedi 29 mars en début déaprés-midi, se choisira un nouveau président en exercice é la place de M. Alassane Ouattara.
Elle séintéressera aussi é la situation au Mali et en Guinée-Bissau sur la base, é chaque fois, déun mémorandum du président de la Commission de la CEDEAO. Sur le Mali en particulier, les chefs déEtat auront droit é un point de la part du médiateur, Blaise Compaoré du Burkina Faso, et du co-médiateur, Goodluck Ebele Jonathan du Nigéria.
LS/APA