L’ouverture du 44ème sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a été marquée, vendredi à Yamoussoukro, par la tenue de trois cérémonies de remise de décorations à des personnalités militaires et civiles, distinguées pour services rendus à la sous-région ouest-africaine, en particulier au Mali.
La première cérémonie, placée sous l’égide de la CEDEAO, a consisté à remettre la Médaille de la valeur militaire de l’organisation au général de corps d’armée Soumaila Bakayoko, chef d’état-major général des armées de Côte d’Ivoire et président du Comité des chefs d’état-major de la CEDEAO, ainsi qu’au général nigérian Shehu Usman Abdulkadir, commandant de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma).
La même décoration sera remise ultérieurement, à titre posthume, à la famille de feu le général nigérien Yayé Garba, ancien commandant en second de la Misma, retrouvé mort en mai 2013 dans la chambre de la résidence de Bamako où il logeait.
Ensuite, ce fut au tour du président malien Ibrahim Boubacar Kéïta en personne d’élever dans différents grades de l’Ordre national du Mali les trois officiers supérieurs déjà décorés par le président de la Commission de la CEDEAO, mais aussi le colonel sénégalais Jean-Paul Ntab, ancien chef d’état-major de la Misma.
M. Kéïta a rendu ainsi hommage à ces hommes pour leur courage et pour la détermination qu’ils ont démontrés dans la lutte pour le retour de la paix au Mali et le recouvrement de son intégrité territoriale.
La dernière cérémonie a consisté, de la part de l’ensemble de la société civile malienne, à décerner des Trophées de l’excellence pour la paix, à quatre chefs d’Etat de la sous-région, et d’abord à l’Ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de la CEDEAO, pour sa gestion de la crise malienne.
Le président Blaise Compaoré du Burkina Faso a ensuite été distingué pour la qualité de sa médiation dans la crise malienne, de même que son homologue nigérian et co-médiateur, Goodluck Ebele Jonathan, tandis que le Béninois Boni Yayi l’était pour son lobbying efficace lorsqu’il assurait la présidence en exercice de l’Union africaine.
La coordination de la société civile malienne n’a pas oublié de remettre un Trophée de l’excellence pour la paix au président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, pour sa coordination stratégique des actions de l’organisation en faveur du retour de la paix au Mali.
LS/APA
La première cérémonie, placée sous l’égide de la CEDEAO, a consisté à remettre la Médaille de la valeur militaire de l’organisation au général de corps d’armée Soumaila Bakayoko, chef d’état-major général des armées de Côte d’Ivoire et président du Comité des chefs d’état-major de la CEDEAO, ainsi qu’au général nigérian Shehu Usman Abdulkadir, commandant de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma).
La même décoration sera remise ultérieurement, à titre posthume, à la famille de feu le général nigérien Yayé Garba, ancien commandant en second de la Misma, retrouvé mort en mai 2013 dans la chambre de la résidence de Bamako où il logeait.
Ensuite, ce fut au tour du président malien Ibrahim Boubacar Kéïta en personne d’élever dans différents grades de l’Ordre national du Mali les trois officiers supérieurs déjà décorés par le président de la Commission de la CEDEAO, mais aussi le colonel sénégalais Jean-Paul Ntab, ancien chef d’état-major de la Misma.
M. Kéïta a rendu ainsi hommage à ces hommes pour leur courage et pour la détermination qu’ils ont démontrés dans la lutte pour le retour de la paix au Mali et le recouvrement de son intégrité territoriale.
La dernière cérémonie a consisté, de la part de l’ensemble de la société civile malienne, à décerner des Trophées de l’excellence pour la paix, à quatre chefs d’Etat de la sous-région, et d’abord à l’Ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de la CEDEAO, pour sa gestion de la crise malienne.
Le président Blaise Compaoré du Burkina Faso a ensuite été distingué pour la qualité de sa médiation dans la crise malienne, de même que son homologue nigérian et co-médiateur, Goodluck Ebele Jonathan, tandis que le Béninois Boni Yayi l’était pour son lobbying efficace lorsqu’il assurait la présidence en exercice de l’Union africaine.
La coordination de la société civile malienne n’a pas oublié de remettre un Trophée de l’excellence pour la paix au président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, pour sa coordination stratégique des actions de l’organisation en faveur du retour de la paix au Mali.
LS/APA