Awa Fadiga, le jeune mannequin de 23 ans dont le décès dans un centre hospitalier public abidjanais a suscité « indignation » et « colère » a été inhumée, lundi après-midi, sous haute surveillance, au cimetière de Williamsville, dans la commune d’Adjamé, au Nord-Est d’Abidjan.
Certains policiers postés à l’entrée, d’autres dans l’enceinte du cimetière, donnaient l’image d’une « haute » sécurisation de l’enterrement du jeune mannequin pour éviter d’éventuels débordements, a constaté un photographe de APA.
La mort d’Awa Fadiga le mardi 25 mars, au service des urgences du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Cocody, suite à une agression d’un conducteur de taxi a provoqué un profond émoi au sein de la population.
Les défaillances du plateau technique sanitaire ivoirien ayant été indexées pour n’avoir pas donné à la défunte les « premiers soins » que nécessitait son état. Un drame qui a enflammé l’ire de ses parents et amis, mettant en cause la négligence du personnel médical. Les autorités sanitaires du pays ont soutenu le contraire, soulignant que la victime a reçu les premiers soins à son arrivée au CHU de Cocody.
En attendant les résultats de l’autopsie effectuée, vendredi, à la requête du Parquet, la levée de corps du jeune mannequin a été faite, lundi, en fin de matinée, en présence d’une foule nombreuse d’amis et de parents inconsolables. Le corps a transité par le domicile familial sis à Williamsville pour la prière mortuaire.
C’est sous une haute surveillance policière que Awa Fadiga « agressée par le taximètre » et « assassinée par le CHU » selon les messages des Tee-shirt arborés par ses amis, a été portée en terre, en présence de Mamadou Koulibaly, l’ex-président de l’Assemblée nationale et président de Liberté et démocratie pour la République (LIDER, opposition).
AS/hs/ls/APA
Certains policiers postés à l’entrée, d’autres dans l’enceinte du cimetière, donnaient l’image d’une « haute » sécurisation de l’enterrement du jeune mannequin pour éviter d’éventuels débordements, a constaté un photographe de APA.
La mort d’Awa Fadiga le mardi 25 mars, au service des urgences du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Cocody, suite à une agression d’un conducteur de taxi a provoqué un profond émoi au sein de la population.
Les défaillances du plateau technique sanitaire ivoirien ayant été indexées pour n’avoir pas donné à la défunte les « premiers soins » que nécessitait son état. Un drame qui a enflammé l’ire de ses parents et amis, mettant en cause la négligence du personnel médical. Les autorités sanitaires du pays ont soutenu le contraire, soulignant que la victime a reçu les premiers soins à son arrivée au CHU de Cocody.
En attendant les résultats de l’autopsie effectuée, vendredi, à la requête du Parquet, la levée de corps du jeune mannequin a été faite, lundi, en fin de matinée, en présence d’une foule nombreuse d’amis et de parents inconsolables. Le corps a transité par le domicile familial sis à Williamsville pour la prière mortuaire.
C’est sous une haute surveillance policière que Awa Fadiga « agressée par le taximètre » et « assassinée par le CHU » selon les messages des Tee-shirt arborés par ses amis, a été portée en terre, en présence de Mamadou Koulibaly, l’ex-président de l’Assemblée nationale et président de Liberté et démocratie pour la République (LIDER, opposition).
AS/hs/ls/APA