C’est parti ! La 7ème édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo a débuté officiellement hier après-midi, dans sur la place de ce village situé à Marcory.
Pour l’occasion, le commissariat général du festival, piloté par Salif Traoré dit A’salfo, avait mis les petits plats dans les grands pour que la cérémonie d’ouverture soit déjà une belle fête, histoire de donner le ton de ce que sera ce 7ème Femua. Tentes de luxe pour accueillir les artistes invités et les personnalités dont les ministres de la Culture et de la Francophonie ( Maurice Bandaman) et de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (Kandia Camara), sono impeccable et animation populaire…bref tout était donc réuni pour que ce Femua 7 démarre en fanfare. D’entrée, A’salfo s’est réjoui de la rénommée de son événement, qui est devenu en si peu de temps, un « phénomène national et international» qui a pris, à ses yeux, « toute sa place dans le monde des arts ». Aux artistes qui ont bien voulu accepter de faire le déplacement d’Abidjan, il a rappelé qu’ils étaient des Ambassadeurs de l’Afrique. Puis, le commissaire général du Femua a rendu un hommage appuyé au ministre de l’Intégration, Ally Coulibaly, absent du pays et au ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko qui, confessera t-il, «m’ont aidé en défendant au sein du gouvernement les dossiers culturels ». Aussi a-t-il saisi cette tribune pour témoigner sa gratitude aux personnalités et partenaires qui n’ont ménagé aucun effort pour que le Femua soit à ce stade. « Si chaque artiste crée chez lui un festival, la culture apporterait plus à l’Afrique que la politique », a indiqué le chanteur. De son côté, M. René Yédiéti, PDG de La Librairie de France Groupe et premier responsable d’une fondation qui offrira cette année une école maternelle à Anoumabo, l’action sociale majeure de ce Femua 7, a promis que l’établissement va pousser, en souhaitant l’avoir dès la rentrée scolaire prochaine. Quand Gangan Nicodème, chef d’Anoumabo, réitérait tout le soutien de ce village à Magic System, tout en s’insurgeant contre l’éclatement du festival, qui est, selon lui, un signe avant-coureur d’un départ. « Nous refusons une telle éventualité», a-t-il assené, sous un tonnerre d’applaudissements.
Enfin, les ministres Bandaman et Kandia Camara ont salué la pertinence de ce festival qui allie culture et ?uvre sociale.
Au total, 17 artistes et groupes musicaux dont huit Ivoiriens tels que Alpha Blondy, Pierrette Adams, les Surchocs, Affou Kéita et neuf venus du Burkina Faso (Sana Bob), du Ghana (Gyedu-Blay Amboley), du Botswana (Maxi Sedumedi), de la France, (Youssoupha), du Cameroun (Lady Ponce), du Mali (Amadou et Mariam), de la Guinée (Fodé Baro), de la RD Congo (Ferre Gola) et du Liban (Sae Lis’)
se produiront à Anoumabo et à Yopougon à ce Femua 7. Notons que dans la matinée du vendredi, au cours d’une conférence de presse en prélude à ce festival au Plateau, Le ministère ivoirien de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur a décerné, un prix de l’intégration africaine au groupe musical Magic System, pour toutes ses actions en faveur de l’intégration africaine à travers ses ?uvres discographiques. Ce prix est doté d’un trophée et d’une envelope de 800.000 FCFA.
YS
Pour l’occasion, le commissariat général du festival, piloté par Salif Traoré dit A’salfo, avait mis les petits plats dans les grands pour que la cérémonie d’ouverture soit déjà une belle fête, histoire de donner le ton de ce que sera ce 7ème Femua. Tentes de luxe pour accueillir les artistes invités et les personnalités dont les ministres de la Culture et de la Francophonie ( Maurice Bandaman) et de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (Kandia Camara), sono impeccable et animation populaire…bref tout était donc réuni pour que ce Femua 7 démarre en fanfare. D’entrée, A’salfo s’est réjoui de la rénommée de son événement, qui est devenu en si peu de temps, un « phénomène national et international» qui a pris, à ses yeux, « toute sa place dans le monde des arts ». Aux artistes qui ont bien voulu accepter de faire le déplacement d’Abidjan, il a rappelé qu’ils étaient des Ambassadeurs de l’Afrique. Puis, le commissaire général du Femua a rendu un hommage appuyé au ministre de l’Intégration, Ally Coulibaly, absent du pays et au ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko qui, confessera t-il, «m’ont aidé en défendant au sein du gouvernement les dossiers culturels ». Aussi a-t-il saisi cette tribune pour témoigner sa gratitude aux personnalités et partenaires qui n’ont ménagé aucun effort pour que le Femua soit à ce stade. « Si chaque artiste crée chez lui un festival, la culture apporterait plus à l’Afrique que la politique », a indiqué le chanteur. De son côté, M. René Yédiéti, PDG de La Librairie de France Groupe et premier responsable d’une fondation qui offrira cette année une école maternelle à Anoumabo, l’action sociale majeure de ce Femua 7, a promis que l’établissement va pousser, en souhaitant l’avoir dès la rentrée scolaire prochaine. Quand Gangan Nicodème, chef d’Anoumabo, réitérait tout le soutien de ce village à Magic System, tout en s’insurgeant contre l’éclatement du festival, qui est, selon lui, un signe avant-coureur d’un départ. « Nous refusons une telle éventualité», a-t-il assené, sous un tonnerre d’applaudissements.
Enfin, les ministres Bandaman et Kandia Camara ont salué la pertinence de ce festival qui allie culture et ?uvre sociale.
Au total, 17 artistes et groupes musicaux dont huit Ivoiriens tels que Alpha Blondy, Pierrette Adams, les Surchocs, Affou Kéita et neuf venus du Burkina Faso (Sana Bob), du Ghana (Gyedu-Blay Amboley), du Botswana (Maxi Sedumedi), de la France, (Youssoupha), du Cameroun (Lady Ponce), du Mali (Amadou et Mariam), de la Guinée (Fodé Baro), de la RD Congo (Ferre Gola) et du Liban (Sae Lis’)
se produiront à Anoumabo et à Yopougon à ce Femua 7. Notons que dans la matinée du vendredi, au cours d’une conférence de presse en prélude à ce festival au Plateau, Le ministère ivoirien de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur a décerné, un prix de l’intégration africaine au groupe musical Magic System, pour toutes ses actions en faveur de l’intégration africaine à travers ses ?uvres discographiques. Ce prix est doté d’un trophée et d’une envelope de 800.000 FCFA.
YS