People. Elles sont de la race de celles qui ne réculent devant rien. Elles ont voulu devenir des stars et elles le sont aujourd’hui. Des vraies.
Daloa n’a pas produit beaucoup de Miss à l’échelle nationale mais la seule, Séry Djéhi Dorcas, Miss Côte d’Ivoire 2005, reste unique, atypique. On l’aime ou on l’aime pas, Séry Dorcas ne laisse personne indifférent dans ce pays. Avec ses amitiés haut placées, son style bling-bling, son goût du luxe, Dorcas a du chien !
Etudiante au Ghana, Séry Dorcas regagne Abidjan pour se présenter au concours Miss Côte d’Ivoire en 2005. Elle choisit la ville d’origine de sa mère, Daloa, où elle triomphe lors de la présélection locale avant de se faire sacrer au plan national le 03 Juin 2005 au Palais de la Culture d’Abidjan.
Rouquine, belle et star dans l’âme, Dorcas vit à la mode de Paris ou de New York, toujours entre deux avions, fréquente les salons feutrés et défraie la chronique…
Mais elle l’a bien compris : pour bien vivre, il vaut mieux ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire. Dorcas vit sa vie, sans regarder derrière, faisant fi des calomnies, des vérités et contre-vérités. Des admirateurs et des méchants loups! La gloire a bien une rançon…
Aujourd’hui mariée à Didier Zokora Maestro, footballeur international ivoirien évoluant au Trabzonspor, Miss Dorcas vit en Turquie avec son footeux de mari et s’informe toujours sur le concours Miss Côte d’Ivoire.
Beaucoup ne le savent pas mais Claire Bailly est aussi un pur produit de Miss Côte d’Ivoire. Et même si elle n’y a jamais participé ni gagné la Finale nationale, elle a bien été élue deuxième dauphine de la présélection régionale en 1999 à Daloa.
Défiler devant plusieurs centaines de personnes forge forcément un caractère et la reine du bobara-fitini n’en demandait pas mieux.
Belle taille, belle plastique, Claire Bailly est une femme épanouie, toujours entre deux avions comme Séry Dorcas et a roulé, il y a peu, en Hammer.
Aujourd’hui vedette incontournable de la musique ivoirienne, elle prend plaisir à se souvenir et à parler de son élection à Daloa.
Séry Dorcas a laissé un difficile héritage à Daloa qui rêve toujours d’une couronne nationale. MissYéo sera t-elle enfin le bon cheval ?
Par Désiré M’BRA
Daloa n’a pas produit beaucoup de Miss à l’échelle nationale mais la seule, Séry Djéhi Dorcas, Miss Côte d’Ivoire 2005, reste unique, atypique. On l’aime ou on l’aime pas, Séry Dorcas ne laisse personne indifférent dans ce pays. Avec ses amitiés haut placées, son style bling-bling, son goût du luxe, Dorcas a du chien !
Etudiante au Ghana, Séry Dorcas regagne Abidjan pour se présenter au concours Miss Côte d’Ivoire en 2005. Elle choisit la ville d’origine de sa mère, Daloa, où elle triomphe lors de la présélection locale avant de se faire sacrer au plan national le 03 Juin 2005 au Palais de la Culture d’Abidjan.
Rouquine, belle et star dans l’âme, Dorcas vit à la mode de Paris ou de New York, toujours entre deux avions, fréquente les salons feutrés et défraie la chronique…
Mais elle l’a bien compris : pour bien vivre, il vaut mieux ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire. Dorcas vit sa vie, sans regarder derrière, faisant fi des calomnies, des vérités et contre-vérités. Des admirateurs et des méchants loups! La gloire a bien une rançon…
Aujourd’hui mariée à Didier Zokora Maestro, footballeur international ivoirien évoluant au Trabzonspor, Miss Dorcas vit en Turquie avec son footeux de mari et s’informe toujours sur le concours Miss Côte d’Ivoire.
Beaucoup ne le savent pas mais Claire Bailly est aussi un pur produit de Miss Côte d’Ivoire. Et même si elle n’y a jamais participé ni gagné la Finale nationale, elle a bien été élue deuxième dauphine de la présélection régionale en 1999 à Daloa.
Défiler devant plusieurs centaines de personnes forge forcément un caractère et la reine du bobara-fitini n’en demandait pas mieux.
Belle taille, belle plastique, Claire Bailly est une femme épanouie, toujours entre deux avions comme Séry Dorcas et a roulé, il y a peu, en Hammer.
Aujourd’hui vedette incontournable de la musique ivoirienne, elle prend plaisir à se souvenir et à parler de son élection à Daloa.
Séry Dorcas a laissé un difficile héritage à Daloa qui rêve toujours d’une couronne nationale. MissYéo sera t-elle enfin le bon cheval ?
Par Désiré M’BRA