Mais qu'est-ce qui n'a pas marché ? C'est comme ça, on s'interroge à Abidjan face à ce genre de situation. Au départ, il a dit que la responsabilité du grand (?) hôpital n'était point engagée. Dans cette mort. Et après, la polémique enflait. Dès lors, des têtes ont été coupées. Les têtes de ceux-là même à qui la tutelle ne reprochait rien. Même si on parle de mesures administratives, il y a quelque chose d'incompréhensible. C'est abracadabrant, surprenant non ?
SYLLA Arouna
SYLLA Arouna