Dimbokro – Dans le cadre de la célébration de ‘’Paquinou 2014’’, samedi à Adjoumanikro, localité de la sous-préfecture de Nofou, située à 30 km de Dimbokro, la population a sollicité auprès de l’Inspecteur général d’Etat, Gnamien N’Goran, l’achèvement et la construction d’infrastructures diverses pour le développement du village.
Au nom des cadres et de la population, le président de la mutuelle de développement d’Adjoumanikro, Koffi Kouadio Mathieu, a égrené un chapelet de doléances à réaliser à court, moyen et long termes.
A court terme, la population d’Adjoumanikro souhaite l’achèvement du logement, du bureau du directeur et de trois classes de l’école primaire publique du village; l’extension de la retenue d’eau; la finition de la pompe hydraulique à motricité humaine (HMV) dont le forage a été réalisé en 2010 et l’électrification de la localité.
A moyen terme, le chef Agan Koffi Joseph et ses administrés sollicitent la construction d’un bâtiment de trois classes et d’un logement de maître; l’ouverture d’une école maternelle; la réalisation de deux pompes à motricité humaine à l’école et au nouveau quartier ainsi qu’un soutien à la création de plantations villageoises de teck et d’anacarde.
A long terme, Adjoumanikro veut la construction d’un centre de santé et d’un foyer de jeunes ainsi que d’un palais pour la chefferie; la réalisation d’une hydraulique villageoise améliorée.
Toutes sollicitations auxquelles le parrain, l’Inspecteur général d’Etat, Gnamien N'Goran, auparavant fait chef traditionnel d’Adoumanikro, a apporté quelques réponses immédiates.
« Votre village, comme cela se murmure, n’est pas oublié et ne sera pas oublié de la République. C’est pourquoi, le président de la République, SEM. Alassane Ouattara, me charge de vous apporter quelques solutions immédiates notamment la fourniture d’une citerne par l’ONEP en attendant la construction de votre château d’eau dans le cadre des infrastructures hydrauliques. Personnellement, je vous offre 12 tonnes de ciment pour les travaux au niveau de l’école », a-t-il dit.
Fête religieuse, Pâques s’est muée en pays baoulé en festivités profanes de réjouissance et de retrouvailles dites "Paquinou", moment de retour au bercail de certains ressortissants du Centre, notamment des zones forestières de l’Ouest, du Centre-Ouest et du Sud-Ouest du pays pour conduire des activités de développement dans leurs régions d’origine, rappelle-t-on.
(AIP)
zgrp/cmas
Au nom des cadres et de la population, le président de la mutuelle de développement d’Adjoumanikro, Koffi Kouadio Mathieu, a égrené un chapelet de doléances à réaliser à court, moyen et long termes.
A court terme, la population d’Adjoumanikro souhaite l’achèvement du logement, du bureau du directeur et de trois classes de l’école primaire publique du village; l’extension de la retenue d’eau; la finition de la pompe hydraulique à motricité humaine (HMV) dont le forage a été réalisé en 2010 et l’électrification de la localité.
A moyen terme, le chef Agan Koffi Joseph et ses administrés sollicitent la construction d’un bâtiment de trois classes et d’un logement de maître; l’ouverture d’une école maternelle; la réalisation de deux pompes à motricité humaine à l’école et au nouveau quartier ainsi qu’un soutien à la création de plantations villageoises de teck et d’anacarde.
A long terme, Adjoumanikro veut la construction d’un centre de santé et d’un foyer de jeunes ainsi que d’un palais pour la chefferie; la réalisation d’une hydraulique villageoise améliorée.
Toutes sollicitations auxquelles le parrain, l’Inspecteur général d’Etat, Gnamien N'Goran, auparavant fait chef traditionnel d’Adoumanikro, a apporté quelques réponses immédiates.
« Votre village, comme cela se murmure, n’est pas oublié et ne sera pas oublié de la République. C’est pourquoi, le président de la République, SEM. Alassane Ouattara, me charge de vous apporter quelques solutions immédiates notamment la fourniture d’une citerne par l’ONEP en attendant la construction de votre château d’eau dans le cadre des infrastructures hydrauliques. Personnellement, je vous offre 12 tonnes de ciment pour les travaux au niveau de l’école », a-t-il dit.
Fête religieuse, Pâques s’est muée en pays baoulé en festivités profanes de réjouissance et de retrouvailles dites "Paquinou", moment de retour au bercail de certains ressortissants du Centre, notamment des zones forestières de l’Ouest, du Centre-Ouest et du Sud-Ouest du pays pour conduire des activités de développement dans leurs régions d’origine, rappelle-t-on.
(AIP)
zgrp/cmas