Disqualification. Finies les présélections de Miss Côte d’Ivoire 2013. Cap sur la finale nationale qui aura lieu, le 8 Juin, dans un Palais des Congrès de l’hôtel Ivoire relooké et qui coûte, désormais, 15 millions de francs à la location.
Mais, même si une étape cruciale a été franchie, toutes les candidates présélectionnées ne sont pas, pour autant, déjà qualifiées pour le rush final.
Les critères de candidature indiquent, entre autres, que les jeunes filles doivent avoir un niveau minimum de la classe de 1ère des lycées et collèges et n’avoir jamais eu d’enfant. Ce sont des critères universels sur lesquels s’est aligné le Comité Miss Côte d’Ivoire (comici) pour permettre à nos élues nationales de pouvoir participer à des concours internationaux comme Miss Monde.
Beaucoup de candidates parviennent, cependant, à contourner ces exigences et à fournir des attestations de scolarité régulières. Pis, toutes les candidates déclarent, sur l’honneur, n’avoir jamais eu d’enfants.
Mais le comici, qui ne transige pas sur ces critères, les attend au tournant. Une enquête de moralité est réalisée pour vérifier la véracité des déclarations et documents fournis.
Et, dans ce jeu de poker menteur, plusieurs candidates, élues lors des présélections régionales, ont été épinglées et purement et simplement disqualifiées avant la finale.
A Aboisso et à Divo, des candidates qui ont fraudé sur leur niveau d’étude (parfois avec la complicité de leurs éducateurs scolaires), ont été remplacées par leurs deuxièmes dauphines.
A Agboville, une candidate, qui avait eu un enfant qui ne vivait plus, a été déchue de son titre et à San Pedro, une Miss, dont l’enfant l’attendait chez elle à yopougon, a été dénoncée par ses voisins de quartier et disqualifiée…
Un mois nous sépare de la finale 2014 et personne n’est à l’abri d’une mauvaise surprise. En se déplaçant dans des villes autres que leurs lieux de résidence pour participer au concours, certaines candidates pensent pouvoir prendre les organisateurs au dépourvu. Mais la vérité finit toujours par se savoir et la sanction, toujours par tomber.
Que nous réserve la finale 2014? Wait and see!
Par Désiré M’BRA
Mais, même si une étape cruciale a été franchie, toutes les candidates présélectionnées ne sont pas, pour autant, déjà qualifiées pour le rush final.
Les critères de candidature indiquent, entre autres, que les jeunes filles doivent avoir un niveau minimum de la classe de 1ère des lycées et collèges et n’avoir jamais eu d’enfant. Ce sont des critères universels sur lesquels s’est aligné le Comité Miss Côte d’Ivoire (comici) pour permettre à nos élues nationales de pouvoir participer à des concours internationaux comme Miss Monde.
Beaucoup de candidates parviennent, cependant, à contourner ces exigences et à fournir des attestations de scolarité régulières. Pis, toutes les candidates déclarent, sur l’honneur, n’avoir jamais eu d’enfants.
Mais le comici, qui ne transige pas sur ces critères, les attend au tournant. Une enquête de moralité est réalisée pour vérifier la véracité des déclarations et documents fournis.
Et, dans ce jeu de poker menteur, plusieurs candidates, élues lors des présélections régionales, ont été épinglées et purement et simplement disqualifiées avant la finale.
A Aboisso et à Divo, des candidates qui ont fraudé sur leur niveau d’étude (parfois avec la complicité de leurs éducateurs scolaires), ont été remplacées par leurs deuxièmes dauphines.
A Agboville, une candidate, qui avait eu un enfant qui ne vivait plus, a été déchue de son titre et à San Pedro, une Miss, dont l’enfant l’attendait chez elle à yopougon, a été dénoncée par ses voisins de quartier et disqualifiée…
Un mois nous sépare de la finale 2014 et personne n’est à l’abri d’une mauvaise surprise. En se déplaçant dans des villes autres que leurs lieux de résidence pour participer au concours, certaines candidates pensent pouvoir prendre les organisateurs au dépourvu. Mais la vérité finit toujours par se savoir et la sanction, toujours par tomber.
Que nous réserve la finale 2014? Wait and see!
Par Désiré M’BRA