La grande soirée de gala en l’honneur des acteurs du football africain prévue pour le 22 mai à Abidjan se drape de ses plus beaux habits. Au nombre des illustres invités attendus, figure PAPE DUOIF. Le charismatique dirigeant, manager et consultant qui fait la fienté de toute l’Afrique plante le décor et lance un appel à l’Afrique du football.
M. Pape Diouf, vous avez fait parti des invités de prestige de la première édition de la Nuit du Football Africain. Avec quels sentiments êtes-vous reparti de cette soirée de gala ?
La première édition de la Nuit du Football Africain a été un franc succès. L’organisation de la soirée fut parfaite et la présence de quelques uns des principaux acteurs du football continental en a garanti la qualité. J’ai apprécié également la distinction qui fut faite à d’anciens grands joueurs.
Selon vous, ce type d’événement se justifie t-il en Afrique ?
Ce type d’événements participe directement au développement du football africain parce que non seulement il récompense ses acteurs en les encouragent ainsi, mais il est l’occasion de réunir la grande famille du football.
Vous êtes annoncé à Abidjan pour la deuxième édition de la Nuit du Football Africain le 22 mai. Quelles sont vos attentes pour cette édition ?
J’attends que la deuxième édition de la Nuit du Football Africain confirme le succès de la précédente. Tout grand événements est susceptible d’amélioration et je suis sûr que les organisateurs d’Abidjan ont prêté le plus grand soin à leur enfant.
Vous êtes membres d’honneur de la Nuit du Football Africain prévu pour le 22 mai à Abidjan, alors qu’on bous annonce comme invité de marque le 21 mai à Dakar pour un événement semblable dénommé la Grande Nuit du Football Africain. Quels commentaires avez-vous à faire à ce sujet ?
Sauf cataclysme, je serai avec plaisir à Abidjan pour la deuxième édition de la Nuit du Football Africain. Je suis heureux et fier d’être un membre d’honneur de l’événement. Pour le reste, je n’ai pas de commentaires particuliers à faire.
La Nuit du Football Africain consacre un grand pan de son action à mettre en valeur les anciennes gloires du football africain. En tant que journaliste, consultant et grand manager, pensez-vous que les footballeurs africains réussissent leur reconversion ?
Avec des gains de plus en plus substantiels, les joueurs africains deviennent des footballeurs professionnels qui réussissent assez largement aujourd’hui à assurer leur reconversion. Mais la chose n’est jamais aisée, ni gagnée d’avance. Encore moins pour ceux qui auront fait toute leur carrière sur le continent.
Nous sommes à quelques semaines du coup d’envoi du Mondial. Quel est votre favori des cinq pays représentants le cantinent africain à cette compétition ?
Je n’ai pas de favori à vrai dire. J’ai cependant l’intuition que deux pays africains au moins vont sortir des groupes. C’est peur être là, plus un pronostic du cœur que de raison. Mais je reste confiant.
Avez-vous un message particulier à adresser au monde du football africain à travers la Nuit du Football Africain ?
Le seul message que je pourrais adresser au football africain est le suivant : la réflexion doit nécessairement partir sur la manière dont on peut rendre attractives les compétitions nationales de plus en plus désertées. Notre football ne doit plus se résumer aux seules rencontres disputées par nos sélections généralement constituées d’éléments jouant en en dehors de nos frontières.
M. Pape Diouf, vous avez fait parti des invités de prestige de la première édition de la Nuit du Football Africain. Avec quels sentiments êtes-vous reparti de cette soirée de gala ?
La première édition de la Nuit du Football Africain a été un franc succès. L’organisation de la soirée fut parfaite et la présence de quelques uns des principaux acteurs du football continental en a garanti la qualité. J’ai apprécié également la distinction qui fut faite à d’anciens grands joueurs.
Selon vous, ce type d’événement se justifie t-il en Afrique ?
Ce type d’événements participe directement au développement du football africain parce que non seulement il récompense ses acteurs en les encouragent ainsi, mais il est l’occasion de réunir la grande famille du football.
Vous êtes annoncé à Abidjan pour la deuxième édition de la Nuit du Football Africain le 22 mai. Quelles sont vos attentes pour cette édition ?
J’attends que la deuxième édition de la Nuit du Football Africain confirme le succès de la précédente. Tout grand événements est susceptible d’amélioration et je suis sûr que les organisateurs d’Abidjan ont prêté le plus grand soin à leur enfant.
Vous êtes membres d’honneur de la Nuit du Football Africain prévu pour le 22 mai à Abidjan, alors qu’on bous annonce comme invité de marque le 21 mai à Dakar pour un événement semblable dénommé la Grande Nuit du Football Africain. Quels commentaires avez-vous à faire à ce sujet ?
Sauf cataclysme, je serai avec plaisir à Abidjan pour la deuxième édition de la Nuit du Football Africain. Je suis heureux et fier d’être un membre d’honneur de l’événement. Pour le reste, je n’ai pas de commentaires particuliers à faire.
La Nuit du Football Africain consacre un grand pan de son action à mettre en valeur les anciennes gloires du football africain. En tant que journaliste, consultant et grand manager, pensez-vous que les footballeurs africains réussissent leur reconversion ?
Avec des gains de plus en plus substantiels, les joueurs africains deviennent des footballeurs professionnels qui réussissent assez largement aujourd’hui à assurer leur reconversion. Mais la chose n’est jamais aisée, ni gagnée d’avance. Encore moins pour ceux qui auront fait toute leur carrière sur le continent.
Nous sommes à quelques semaines du coup d’envoi du Mondial. Quel est votre favori des cinq pays représentants le cantinent africain à cette compétition ?
Je n’ai pas de favori à vrai dire. J’ai cependant l’intuition que deux pays africains au moins vont sortir des groupes. C’est peur être là, plus un pronostic du cœur que de raison. Mais je reste confiant.
Avez-vous un message particulier à adresser au monde du football africain à travers la Nuit du Football Africain ?
Le seul message que je pourrais adresser au football africain est le suivant : la réflexion doit nécessairement partir sur la manière dont on peut rendre attractives les compétitions nationales de plus en plus désertées. Notre football ne doit plus se résumer aux seules rencontres disputées par nos sélections généralement constituées d’éléments jouant en en dehors de nos frontières.