Le Président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro, a déclaré, samedi, à Agboville (79 km au Nord-Est d'Abidjan), être "prêt" pour "aller chercher", les partisans de l'ancien Chef de l'Etat Laurent Gbagbo en exil dans les pays de la sous-région.
"On demande aux exilés de rentrer pour participer à la vie de la nation (...) Je suis moi-même prêt à aller les chercher pour venir (...)" a déclaré M. Soro lors d'un meeting marquant l'apothéose d'une semaine de tournée politique dans la région de l'Agnéby-Tiassa, considérée comme l'un des bastions de l'ancien régime de Laurent Gbagbo.
Il s'est félicité dans la foulée du retour déjà de plusieurs milliers d'exilés parmi lesquels se trouvent des membres des ex-Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire (FDS-CI).
"Nous devrons pardonner et accepter d'aller à la réconciliation nationale", a insisté le président de l'Assemblée nationale, invitant les uns et les autres à s'inspirer de l'exemple du Chef de l'Etat Alassane Ouattara qui malgré les humiliations et frustrations dont il a été l'objet dans un passé récent a tout pardonné pour se tourner vers le développement.
Sur tout autre plan, M. Soro a exhorté ses concitoyens à préparer les prochaines élections, car, a-t-il soutenu "il y a de l'espoir en 2015".
"La Côte d'Ivoire n'ira pas à l'émergence sans Agboville (...) La Côte d'Ivoire compte avec Agboville", a ajouté le député de Ferkessédougou (extrême Nord du pays) en relevant la mobilisation "exceptionnelle" des populations qui prouve "l'attachement" d'Agboville à la République.
Pendant une semaine, Guillaume Kigbafori Soro, accompagné de plusieurs autres parlementaires, a sillonné les départements de Sikensi, Tiassalé, Taabo et Agboville pour prêcher le pardon, la paix, la réconciliation et la cohésion sociale.
LS/APA
"On demande aux exilés de rentrer pour participer à la vie de la nation (...) Je suis moi-même prêt à aller les chercher pour venir (...)" a déclaré M. Soro lors d'un meeting marquant l'apothéose d'une semaine de tournée politique dans la région de l'Agnéby-Tiassa, considérée comme l'un des bastions de l'ancien régime de Laurent Gbagbo.
Il s'est félicité dans la foulée du retour déjà de plusieurs milliers d'exilés parmi lesquels se trouvent des membres des ex-Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire (FDS-CI).
"Nous devrons pardonner et accepter d'aller à la réconciliation nationale", a insisté le président de l'Assemblée nationale, invitant les uns et les autres à s'inspirer de l'exemple du Chef de l'Etat Alassane Ouattara qui malgré les humiliations et frustrations dont il a été l'objet dans un passé récent a tout pardonné pour se tourner vers le développement.
Sur tout autre plan, M. Soro a exhorté ses concitoyens à préparer les prochaines élections, car, a-t-il soutenu "il y a de l'espoir en 2015".
"La Côte d'Ivoire n'ira pas à l'émergence sans Agboville (...) La Côte d'Ivoire compte avec Agboville", a ajouté le député de Ferkessédougou (extrême Nord du pays) en relevant la mobilisation "exceptionnelle" des populations qui prouve "l'attachement" d'Agboville à la République.
Pendant une semaine, Guillaume Kigbafori Soro, accompagné de plusieurs autres parlementaires, a sillonné les départements de Sikensi, Tiassalé, Taabo et Agboville pour prêcher le pardon, la paix, la réconciliation et la cohésion sociale.
LS/APA