Abidjan - Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara et son homologue togolais Faure Gnassingbé ont condamné, mardi, les violences survenues le samedi dernier à Kidal dans le Nord du Mali.
En visite de travail et d'amitié de quelques heures à Abidjan, le Président Faure Gnassingbé a indiqué à la presse, avoir évoqué avec son homologue ivoirien, les situations au Mali et au Nigéria.Sur le Mali, il dit avoir déploré et condamné avec le Président Alassane Ouattara, les affrontements de Kidal.
Selon lui, « il n'est pas question que la paix et la stabilité soient remise en cause dans ce pays », après tous les efforts consentis par la communauté internationale et, notamment, la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) sous le « leadership du Chef de l'Etat ivoirien pour ramener la quiétude dans cet Etat ».
« Nous condamnons ce qui s'est passé à Kidal alors que les élections se sont bien déroulées sous votre leadership. Nous ne pouvons pas accepter que cela soit remis en cause », a déclaré Faure Gnassingbé qui avait à ses côtés son homologue ivoirien.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a dénoncé, lundi soir, une collusion entre groupes rebelles et terrorisme international dans les violences qui ont fait samedi plusieurs dizaines de victimes à Kidal, à l'extrême Nord-Est de son pays.
Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, indépendantiste) a libéré, lundi, les 32 personnes qu'il détenait à Kidal suite à ses violents affrontements de samedi avec les forces de sécurité maliennes.
S'agissant du Nigéria, le Président Faure Gnassingbé a souligné avoir exprimé sa compassion et celle de son homologue ivoirien aux familles des lycéennes enlevées à Chibok dans l'Etat de Borno par la secte islamiste Boko Haram, avant d'appeler à une mobilisation internationale pour venir à bout de ce fléau.
« Ce qui se passe au Nigeria n'est pas acceptable. Nous devrons tous nous mobiliser pour combattre ce fléau. Nous nous sentons aussi attaqués qu'eux », a soutenu M. Gnassingbé venu présenter ses vœux de « prompt rétablissement » à Alassane Ouattara, opéré en février dernier en France d'une sciatique.
LS/APA
En visite de travail et d'amitié de quelques heures à Abidjan, le Président Faure Gnassingbé a indiqué à la presse, avoir évoqué avec son homologue ivoirien, les situations au Mali et au Nigéria.Sur le Mali, il dit avoir déploré et condamné avec le Président Alassane Ouattara, les affrontements de Kidal.
Selon lui, « il n'est pas question que la paix et la stabilité soient remise en cause dans ce pays », après tous les efforts consentis par la communauté internationale et, notamment, la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) sous le « leadership du Chef de l'Etat ivoirien pour ramener la quiétude dans cet Etat ».
« Nous condamnons ce qui s'est passé à Kidal alors que les élections se sont bien déroulées sous votre leadership. Nous ne pouvons pas accepter que cela soit remis en cause », a déclaré Faure Gnassingbé qui avait à ses côtés son homologue ivoirien.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a dénoncé, lundi soir, une collusion entre groupes rebelles et terrorisme international dans les violences qui ont fait samedi plusieurs dizaines de victimes à Kidal, à l'extrême Nord-Est de son pays.
Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, indépendantiste) a libéré, lundi, les 32 personnes qu'il détenait à Kidal suite à ses violents affrontements de samedi avec les forces de sécurité maliennes.
S'agissant du Nigéria, le Président Faure Gnassingbé a souligné avoir exprimé sa compassion et celle de son homologue ivoirien aux familles des lycéennes enlevées à Chibok dans l'Etat de Borno par la secte islamiste Boko Haram, avant d'appeler à une mobilisation internationale pour venir à bout de ce fléau.
« Ce qui se passe au Nigeria n'est pas acceptable. Nous devrons tous nous mobiliser pour combattre ce fléau. Nous nous sentons aussi attaqués qu'eux », a soutenu M. Gnassingbé venu présenter ses vœux de « prompt rétablissement » à Alassane Ouattara, opéré en février dernier en France d'une sciatique.
LS/APA