Abidjan - La Croix-Rouge française a lancé samedi sa grande quête annuelle, en mettant l'accent sur les petits gestes et les attentions que chacun peut avoir pour les autres.
Jusqu'au 1er juin, les bénévoles se mobiliseront pour leur grande quête annuelle, un moment important du financement de l'organisation.
L'ancien mannequin, Adriana Karembeu, et le président de la Croix-Rouge française, Jean-Jacques Eledjam, ont donné le départ de cette quête vers 10 heures sur une place de Vincennes (Val-de-Marne).
La Croix-Rouge qui fête ses 150 ans, estime que "le champ de bataille s'appelle aujourd'hui la précarité", a souligné M. Eledjam. Il a rappelé que hors de France, l'emblème de la Croix-Rouge est aujourd'hui menacé sur les théâtres de conflit où il est parfois pris pour cible.
"Soyez généreux, participez, pour que les bénévoles puissent agir pour que la Croix-Rouge puisse aider ceux qui sont les plus démunis, les plus fragiles. Sans dons, il n'y a pas d'actions", a déclaré de son côté Adriana Karembeu.
Selon la Croix-Rouge, un Euro récolté permet d'offrir un repas; trois Euros, un kit hygiène; 10 Euros, 30 couvertures de survie pour un poste de secours. Au-delà, 30 euros permettent par exemple de payer une consultation médicale, des médicaments et des soins infirmiers pour une personne sans couverture sociale, et 60 Euros, la formation de bénévoles pour la prise en charge de malades d'Alzheimer.
La Croix-Rouge a également lancé une grande campagne de communication visant à mieux faire connaître ses actions.
cmas
Jusqu'au 1er juin, les bénévoles se mobiliseront pour leur grande quête annuelle, un moment important du financement de l'organisation.
L'ancien mannequin, Adriana Karembeu, et le président de la Croix-Rouge française, Jean-Jacques Eledjam, ont donné le départ de cette quête vers 10 heures sur une place de Vincennes (Val-de-Marne).
La Croix-Rouge qui fête ses 150 ans, estime que "le champ de bataille s'appelle aujourd'hui la précarité", a souligné M. Eledjam. Il a rappelé que hors de France, l'emblème de la Croix-Rouge est aujourd'hui menacé sur les théâtres de conflit où il est parfois pris pour cible.
"Soyez généreux, participez, pour que les bénévoles puissent agir pour que la Croix-Rouge puisse aider ceux qui sont les plus démunis, les plus fragiles. Sans dons, il n'y a pas d'actions", a déclaré de son côté Adriana Karembeu.
Selon la Croix-Rouge, un Euro récolté permet d'offrir un repas; trois Euros, un kit hygiène; 10 Euros, 30 couvertures de survie pour un poste de secours. Au-delà, 30 euros permettent par exemple de payer une consultation médicale, des médicaments et des soins infirmiers pour une personne sans couverture sociale, et 60 Euros, la formation de bénévoles pour la prise en charge de malades d'Alzheimer.
La Croix-Rouge a également lancé une grande campagne de communication visant à mieux faire connaître ses actions.
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