Les travaux de la conférence sur la problématique de l’essor de l’Afrique (Africa Rising) ont démarré jeudi à Maputo (Mozambique), en présence notamment du président mozambicain, Armando Guebuza et de la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde.
A l’ouverture des travaux, la DG du FMI a souligné la transformation de grande portée qui a cours en Afrique. « Cette conférence offre une occasion unique de réfléchir -ensemble- aux enseignements que l’on peut tirer des succès de l’Afrique et aux défis qui se profilent à l’horizon. Il reste encore beaucoup à faire », a-t-elle déclaré.
Dans cet esprit, elle a partagé sa réflexion en considérant trois perspectives, à savoir la situation actuelle en faisant le point sur les succès de l’Afrique; les défis immédiats et ceux qui se profilent à plus long terme; et les grandes priorités que doivent se fixer les pouvoirs publics pour affronter ces défis et faire en sorte que l’avenir prometteur de l’Afrique devienne réalité.
Christine Lagarde a fait remarquer que le continent est caractérisé par une grande diversité et certains pays risquent de rester au bord de la route, surtout ceux qui subissent des conflits à répétition. Dans d’autres, la croissance rapide ne profite pas encore à toute la population, et beaucoup d’Africains ne voient pas les fruits de la réussite économique, a-t-elle estimé.
« Les opportunités sont vastes et les défis, s’ils sont considérables, peuvent être relevés, en poursuivant sans relâche des politiques solides, sur le plan économique et social. Aujourd’hui, il s’agit d’aller plus loin, d’œuvrer ensemble à une stratégie de croissance solidaire, riche en emplois et durable.
Aujourd’hui, il s’agit de permettre aux pays à la traîne de profiter des gains enregistrés par de nombreux pays, en les aidant à s’affranchir de leurs fragilités et à mettre en place des institutions solides », a-t-elle dit.
Pour elle, l’essor africain profitera aux populations du continent. « Au-delà, l’essor africain profitera au monde. Une Afrique toujours plus intégrée au monde et le monde qui apprend de l’Afrique », a-t-elle conclu.
Plusieurs pays africains ainsi que les gouverneurs de Banques centrales sont présents à cette rencontre de deux jours. La délégation ivoirienne, conduite par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, comprend, entre autres, les ministres Kaba Nialé (Economie et Finances) et Jean Claude Brou (Mine et Industrie).
cmas
A l’ouverture des travaux, la DG du FMI a souligné la transformation de grande portée qui a cours en Afrique. « Cette conférence offre une occasion unique de réfléchir -ensemble- aux enseignements que l’on peut tirer des succès de l’Afrique et aux défis qui se profilent à l’horizon. Il reste encore beaucoup à faire », a-t-elle déclaré.
Dans cet esprit, elle a partagé sa réflexion en considérant trois perspectives, à savoir la situation actuelle en faisant le point sur les succès de l’Afrique; les défis immédiats et ceux qui se profilent à plus long terme; et les grandes priorités que doivent se fixer les pouvoirs publics pour affronter ces défis et faire en sorte que l’avenir prometteur de l’Afrique devienne réalité.
Christine Lagarde a fait remarquer que le continent est caractérisé par une grande diversité et certains pays risquent de rester au bord de la route, surtout ceux qui subissent des conflits à répétition. Dans d’autres, la croissance rapide ne profite pas encore à toute la population, et beaucoup d’Africains ne voient pas les fruits de la réussite économique, a-t-elle estimé.
« Les opportunités sont vastes et les défis, s’ils sont considérables, peuvent être relevés, en poursuivant sans relâche des politiques solides, sur le plan économique et social. Aujourd’hui, il s’agit d’aller plus loin, d’œuvrer ensemble à une stratégie de croissance solidaire, riche en emplois et durable.
Aujourd’hui, il s’agit de permettre aux pays à la traîne de profiter des gains enregistrés par de nombreux pays, en les aidant à s’affranchir de leurs fragilités et à mettre en place des institutions solides », a-t-elle dit.
Pour elle, l’essor africain profitera aux populations du continent. « Au-delà, l’essor africain profitera au monde. Une Afrique toujours plus intégrée au monde et le monde qui apprend de l’Afrique », a-t-elle conclu.
Plusieurs pays africains ainsi que les gouverneurs de Banques centrales sont présents à cette rencontre de deux jours. La délégation ivoirienne, conduite par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, comprend, entre autres, les ministres Kaba Nialé (Economie et Finances) et Jean Claude Brou (Mine et Industrie).
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