Abidjan - Les parlementaires guinéens viennent d’adopter une loi contre le financement du terrorisme, avec la mise en place d’une Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) qui aura pour mission de veiller sur la circulation fiduciaire, dès que le montant dépasse 50 millions GNF, soit quelque 5.000 Euros ou encore quelque 3.280.000 FCFA.
La CENTIF n’aura pas de pouvoir de police, mais elle aura un blanc-seing quand il s’agit de vérifier la provenance de fonds détenus par un tiers, lorsque le montant se situe au-delà de 50 millions de francs guinéens.
L’adoption de cette loi contre le financement du terrorisme par la Guinée vise à se conformer aux recommandations du Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), une structure créée à l’initiative des chefs d’Etat et de gouvernement des 15 pays membres de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Chaque pays membre de cette organisation sous-régionale dispose ainsi d’une cellule de renseignements financiers, pour lutter efficacement contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
La CENTIF n’aura pas de pouvoir de police, mais elle aura un blanc-seing quand il s’agit de vérifier la provenance de fonds détenus par un tiers, lorsque le montant se situe au-delà de 50 millions de francs guinéens.
L’adoption de cette loi contre le financement du terrorisme par la Guinée vise à se conformer aux recommandations du Groupe d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), une structure créée à l’initiative des chefs d’Etat et de gouvernement des 15 pays membres de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Chaque pays membre de cette organisation sous-régionale dispose ainsi d’une cellule de renseignements financiers, pour lutter efficacement contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.