(Bruxelles) – La décision prise le 12 juin 2014 par les juges de la Cour pénale internationale (CPI) dans l'affaire concernant l'ancien président de la Côte d’Ivoire Laurent Gbagbo devrait utilement rappeler aux personnes qui occupent des postes de pouvoir qu'elles ne sont pas à l'abri de la justice, a déclaré Human Rights Watch aujourd'hui. Une majorité des juges de la Chambre préliminaire I a confirmé les chefs d'accusation de crimes contre l'humanité initialement formulés à l'encontre de Gbagbo, ouvrant la voie à la tenue d'un procès.
Deux des trois juges ont conclu que l'accusation avait présenté suffisamment d'éléments de preuve pour établir qu'il existe des «motifs substantiels de croire » que Gbagbo a commis les crimes dont il est accusé. Gbagbo a fait... suite de l'article sur
Deux des trois juges ont conclu que l'accusation avait présenté suffisamment d'éléments de preuve pour établir qu'il existe des «motifs substantiels de croire » que Gbagbo a commis les crimes dont il est accusé. Gbagbo a fait... suite de l'article sur