Abidjan - Sept pays ouest-africains, à savoir le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, la Gambie, la Guinée, la Mauritanie, la Sierra Leone et le Sénégal, ont décidé de soumettre à l’ONU, en septembre, une demande commune d’extension de leur plateforme continentale à 350.000 marins (650 km).
Cette indication a été fournie mardi, à Praia (Cap Vert), par le ministre capverdien des Affaires étrangères, Jorge Borges, en marge d’une réunion ministérielle des pays concernés par une extension de leur plateforme continentale au-delà des 200.000 marins.
Selon Jorge Borges, la réunion de Praia avait pour but de valider les recommandations du comité de liaison des sept pays, avec l’appui technique de la Norvège, avant leur présentation à l’ONU. Il a précisé que la demande d’extension est régionale et concerne les limites extérieures de la plateforme et non les frontières avec les pays voisins.
Le chef de la diplomatie capverdienne a expliqué que les gains de l’extension de la plateforme désirée seront énormes pour les générations futures, car il peut y avoir d’autres ressources qui seront exploitées et gérées par le Cap-Vert. « Nous serons un pays vraiment bleu. Pour l’instant, nous allons augmenter notre territoire de presque un million de km². La région de la mer sera 150 fois plus grande que la partie terrestre », a-t- il souligné.
(AIP)
cmas
Cette indication a été fournie mardi, à Praia (Cap Vert), par le ministre capverdien des Affaires étrangères, Jorge Borges, en marge d’une réunion ministérielle des pays concernés par une extension de leur plateforme continentale au-delà des 200.000 marins.
Selon Jorge Borges, la réunion de Praia avait pour but de valider les recommandations du comité de liaison des sept pays, avec l’appui technique de la Norvège, avant leur présentation à l’ONU. Il a précisé que la demande d’extension est régionale et concerne les limites extérieures de la plateforme et non les frontières avec les pays voisins.
Le chef de la diplomatie capverdienne a expliqué que les gains de l’extension de la plateforme désirée seront énormes pour les générations futures, car il peut y avoir d’autres ressources qui seront exploitées et gérées par le Cap-Vert. « Nous serons un pays vraiment bleu. Pour l’instant, nous allons augmenter notre territoire de presque un million de km². La région de la mer sera 150 fois plus grande que la partie terrestre », a-t- il souligné.
(AIP)
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