Le président sénégalais Macky Sall a déclaré dimanche à Dakar que l'Afrique ne veut plus être un réceptacle de l'aide, mais un pôle d'opportunité d'investissements et de partenariats.
"L'Afrique a certes des besoins urgents et énormes, mais par ses ressources et son potentiel, elle se veut désormais, non comme un réceptacle de l'aide, mais comme un pôle d'opportunité d' investissements et de partenariats", a-t-il affirmé en ouvrant à Dakar le sommet du Nouveau Partenariat pour le Développement de l' Afrique (NEPAD) consacré au financement des infrastructures.
Cette ambition de l'Afrique va se faire par "la combinaison de toutes les sources de financements", a-t-il déclaré, précisant que le continent africain veut répondre "à un seul impératif : gagner du temps, aller plus vite et faire des résultats".
"Cela veut dire, a-t-il poursuivi, qu'il faut agir à tous les niveaux de planification, de conception et d'exécution pour lever les contraintes à la réalisation de nos objectifs".
Selon lui, l'Afrique veut rompre avec les modèles de financements classiques pour atténuer la dépendance du continent à l'égard de l'extérieur compte tenu surtout du reflux de l'aide publique au développement et de la volatilité des marches de capitaux.
Le président sénégalais Macky Sall a demandé aux Etats africains d'accélérer l'intégration par l'économie et les infrastructures d'interconnexion, suggérant de confier les études de faisabilité des projets du NEPAD à la Banque africaine de développement (BAD), "pour plus d'efficacité et de rapidité".
Convoqué par le président sénégalais Macky Sall, qui est également président du Comité d'orientation des chefs d'Etat et de gouvernement du NEPAD, ce sommet se tient en présence des présidents nigérian Goodluck Jonathan, malien Ibrahima Boubacar Keïta, et béninois Boni Yayi.
"L'Afrique a certes des besoins urgents et énormes, mais par ses ressources et son potentiel, elle se veut désormais, non comme un réceptacle de l'aide, mais comme un pôle d'opportunité d' investissements et de partenariats", a-t-il affirmé en ouvrant à Dakar le sommet du Nouveau Partenariat pour le Développement de l' Afrique (NEPAD) consacré au financement des infrastructures.
Cette ambition de l'Afrique va se faire par "la combinaison de toutes les sources de financements", a-t-il déclaré, précisant que le continent africain veut répondre "à un seul impératif : gagner du temps, aller plus vite et faire des résultats".
"Cela veut dire, a-t-il poursuivi, qu'il faut agir à tous les niveaux de planification, de conception et d'exécution pour lever les contraintes à la réalisation de nos objectifs".
Selon lui, l'Afrique veut rompre avec les modèles de financements classiques pour atténuer la dépendance du continent à l'égard de l'extérieur compte tenu surtout du reflux de l'aide publique au développement et de la volatilité des marches de capitaux.
Le président sénégalais Macky Sall a demandé aux Etats africains d'accélérer l'intégration par l'économie et les infrastructures d'interconnexion, suggérant de confier les études de faisabilité des projets du NEPAD à la Banque africaine de développement (BAD), "pour plus d'efficacité et de rapidité".
Convoqué par le président sénégalais Macky Sall, qui est également président du Comité d'orientation des chefs d'Etat et de gouvernement du NEPAD, ce sommet se tient en présence des présidents nigérian Goodluck Jonathan, malien Ibrahima Boubacar Keïta, et béninois Boni Yayi.