Le Réseau des journalistes pour la paix et la sécurité (Rjps) et la fondation Serenti
ont marqué la semaine mondiale d’action contre la violence armée par une conférence publique. C’était le vendredi 20 mars 2014 au siège des deux organisations à Koumassi. Michèle Pépé, la présidente du Rjps et Présidente du conseil d’administration (Pca) de la Fondation Serenti, a développé, à cette occasion, le thème : « Après la ratification par la Côte d’Ivoire de la convention de la Cedeao sur les Armes légères et de petit calibre (Alpc) : défis et perspectives ». « La lutte contre la prolifération, la circulation illicite et l’utilisation abusive des armes légères et de petit calibre nécessite une approche sous-régionale, régionale et internationale ainsi que des moyens adéquats. Il importe donc que tous les acteurs (gouvernement,
parlement, société civile, média, communautés à la base, forces de sécurité) et partenaires (Organisations régionales et internationales, partenaires aux développement) soient mobilisés et impliqués dans la lutte », a affirmé Mme Pépé en présence de plusieurs invités. Le commissaire Ouattara Steven’s représentait le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et la sécurité, Mme Bamba Joëlle, le bureau de la Cedeao à Abidjan et Angui Assoakon, l’Union du fleuve Mano. « La ferme volonté politique manifestée doit être réaffirmée et se traduire par des actes forts, afin de faire de la lutte contre les Alpc une réelle priorité », a estimé la première responsable du Rjps. Selon Michèle Pépé, il importe que législation et la réglementation
ivoiriennes soient harmonisées et mise en concordance avec les dispositions de la convention de la Cedeao sur les Alpc. Bien avant, elle évoqué les perspectives, les défis majeurs, la réglementation ivoirienne et le contexte général.
C.Z
ont marqué la semaine mondiale d’action contre la violence armée par une conférence publique. C’était le vendredi 20 mars 2014 au siège des deux organisations à Koumassi. Michèle Pépé, la présidente du Rjps et Présidente du conseil d’administration (Pca) de la Fondation Serenti, a développé, à cette occasion, le thème : « Après la ratification par la Côte d’Ivoire de la convention de la Cedeao sur les Armes légères et de petit calibre (Alpc) : défis et perspectives ». « La lutte contre la prolifération, la circulation illicite et l’utilisation abusive des armes légères et de petit calibre nécessite une approche sous-régionale, régionale et internationale ainsi que des moyens adéquats. Il importe donc que tous les acteurs (gouvernement,
parlement, société civile, média, communautés à la base, forces de sécurité) et partenaires (Organisations régionales et internationales, partenaires aux développement) soient mobilisés et impliqués dans la lutte », a affirmé Mme Pépé en présence de plusieurs invités. Le commissaire Ouattara Steven’s représentait le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et la sécurité, Mme Bamba Joëlle, le bureau de la Cedeao à Abidjan et Angui Assoakon, l’Union du fleuve Mano. « La ferme volonté politique manifestée doit être réaffirmée et se traduire par des actes forts, afin de faire de la lutte contre les Alpc une réelle priorité », a estimé la première responsable du Rjps. Selon Michèle Pépé, il importe que législation et la réglementation
ivoiriennes soient harmonisées et mise en concordance avec les dispositions de la convention de la Cedeao sur les Alpc. Bien avant, elle évoqué les perspectives, les défis majeurs, la réglementation ivoirienne et le contexte général.
C.Z