Abidjan – Le Premier ministre burkinabè, Luc Adolphe Tiao a déclaré jeudi, à l’occasion de la 22è session de l’assemblée des sociétés d’Etat, que le résultat net global enregistré par les 16 entreprises publiques s’est élevé à plus de 81 milliards de FCFA en 2013.
«Globalement, le résultat d’exploitation de nos sociétés d’Etat est satisfaisant en 2013, car toutes les sociétés sont bénéficiaires. Nous en enregistrons un résultat net cumulé de 81 milliards 111 millions de FCFA, en augmentation de 66,6% comparé à celui de 2012» s’est réjoui M. Tiao, en présence des responsables des sociétés d’Etat.
Selon le chef du gouvernement burkinabè, le chiffre d’affaire des sociétés d’Etat est passé de 841 milliards 224 millions de FCFA en 2012 à 937 milliards 259 millions en 2013, soit une augmentation de 11,42%.
«Au titre des impôts et taxes et des dividendes, la contribution totale des sociétés d’Etat au budget s’élève à 28 milliards 608 millions de FCFA en 2013 contre 25 milliards en 2012, soit un accroissement de 14,39%» a-t-il ajouté.
Pour le secrétaire général du ministère en charge de l’Industrie et du Commerce, Bernard Zougouri, la contribution des sociétés d’Etat à la formation du Produit intérieur brut (PIB) est en hausse entre 2012 et 2013. «La valeur ajoutée globale, qui traduit cette contribution à la création des richesses nationales, a augmenté de 24,31% en 2013 contre 11,24% en 2012», a-t-il justifié.
Cependant pour le Premier ministre burkinabè, «au-delà des chiffres, la vitalité d’une économie se mesure certes, par les performances des unités qui la composent, mais aussi et surtout, par la qualité de leurs prestations».
Il a du reste invité les directeurs généraux, les conseils d’administration et particulièrement les présidents desdits conseils ainsi que l’ensemble du personnel, à œuvrer «inlassablement» à la satisfaction du client qui est, au bout de compte, «le seul et véritable juge».
Au cours de cette 22è session qui a débuté jeudi, 16 structures dont 14 sociétés d’Etat et deux établissements publics de prévoyance sociale (EPPS) seront appelées à présenter leurs états financiers aux experts pour l’analyse. «L’obligation de rendre compte (…) est un principe fondamental et l’une des principales exigences de la gestion publique, de la bonne gouvernance», a souligné M. Tiao.
(AIB/AIP)
cmas
«Globalement, le résultat d’exploitation de nos sociétés d’Etat est satisfaisant en 2013, car toutes les sociétés sont bénéficiaires. Nous en enregistrons un résultat net cumulé de 81 milliards 111 millions de FCFA, en augmentation de 66,6% comparé à celui de 2012» s’est réjoui M. Tiao, en présence des responsables des sociétés d’Etat.
Selon le chef du gouvernement burkinabè, le chiffre d’affaire des sociétés d’Etat est passé de 841 milliards 224 millions de FCFA en 2012 à 937 milliards 259 millions en 2013, soit une augmentation de 11,42%.
«Au titre des impôts et taxes et des dividendes, la contribution totale des sociétés d’Etat au budget s’élève à 28 milliards 608 millions de FCFA en 2013 contre 25 milliards en 2012, soit un accroissement de 14,39%» a-t-il ajouté.
Pour le secrétaire général du ministère en charge de l’Industrie et du Commerce, Bernard Zougouri, la contribution des sociétés d’Etat à la formation du Produit intérieur brut (PIB) est en hausse entre 2012 et 2013. «La valeur ajoutée globale, qui traduit cette contribution à la création des richesses nationales, a augmenté de 24,31% en 2013 contre 11,24% en 2012», a-t-il justifié.
Cependant pour le Premier ministre burkinabè, «au-delà des chiffres, la vitalité d’une économie se mesure certes, par les performances des unités qui la composent, mais aussi et surtout, par la qualité de leurs prestations».
Il a du reste invité les directeurs généraux, les conseils d’administration et particulièrement les présidents desdits conseils ainsi que l’ensemble du personnel, à œuvrer «inlassablement» à la satisfaction du client qui est, au bout de compte, «le seul et véritable juge».
Au cours de cette 22è session qui a débuté jeudi, 16 structures dont 14 sociétés d’Etat et deux établissements publics de prévoyance sociale (EPPS) seront appelées à présenter leurs états financiers aux experts pour l’analyse. «L’obligation de rendre compte (…) est un principe fondamental et l’une des principales exigences de la gestion publique, de la bonne gouvernance», a souligné M. Tiao.
(AIB/AIP)
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