Abidjan - Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, a fait savoir, vendredi à Abidjan, que dans le cadre de l’évacuation du parc du Mont-Péko, les actions seront plus axées sur le "volet humanitaire’’, afin de "garantir la sécurité" des occupants estimés à environ 27 000.
"La phase de sensibilisation et de reprofilage ayant démarré, il s’agit à présent d’évacuer ces populations", a indiqué Hamed Bakayoko qui précise que cette opération débute en juillet. Il intervenait au terme d'une réunion avec des partenaires techniques et financiers, à laquelle ont pris part la ministre de la Solidarité, de la Famille, la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto et le ministre auprès du président de la République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi.
Selon Hamed Bakayoko, cette opération va coûter 1,4 milliard de francs CFA et va s’effectuer dans de "bonnes conditions sécuritaires, humanitaires et familiales".
Il a par ailleurs affirmé que les occupants, en majorité d’origine étrangère (environ 90%), doivent soit retourner dans leur pays soit rester en Côte d’Ivoire, si elles le souhaitent. Toutefois, a-t-il rassuré, ces populations seront prises en charge par le gouvernement ivoirien et ses partenaires techniques et financiers impliqués dans cette opération.
Tad/kkp/ask
"La phase de sensibilisation et de reprofilage ayant démarré, il s’agit à présent d’évacuer ces populations", a indiqué Hamed Bakayoko qui précise que cette opération débute en juillet. Il intervenait au terme d'une réunion avec des partenaires techniques et financiers, à laquelle ont pris part la ministre de la Solidarité, de la Famille, la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto et le ministre auprès du président de la République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi.
Selon Hamed Bakayoko, cette opération va coûter 1,4 milliard de francs CFA et va s’effectuer dans de "bonnes conditions sécuritaires, humanitaires et familiales".
Il a par ailleurs affirmé que les occupants, en majorité d’origine étrangère (environ 90%), doivent soit retourner dans leur pays soit rester en Côte d’Ivoire, si elles le souhaitent. Toutefois, a-t-il rassuré, ces populations seront prises en charge par le gouvernement ivoirien et ses partenaires techniques et financiers impliqués dans cette opération.
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