Le Mondial brésilien fut catastrophique. Pour les Africains. Et ce n'est pas le passage en 8e de finale des Fennecs et des Aigles qui devrait changer ce bilan. Dans l'affaire, on arrive toujours à la même conclusion. Bien que nos équipes soient constellées de joueurs talentueux et riches. Nos efforts ne se résument qu'à la participation. Nos passions se cristallisant autour des sacro-saintes primes. A cette allure, nous resterons à la traîne, bons qu'à porter le sac des autres.
F. YASSOUA
F. YASSOUA