Le lobbying bat son plein. Après Hervé Renard (ex-coach Sochaux, Avram Grant (ex-coach de Chelsea) et Kamara Ibrahim (Coach U20), c’est le nom de Giovanni Trapattoni qui revient avec insistance.
Après l’Italie (2000-2004), l’Irlande (2008-2013), le Milan AC (1974-1976), la Juventus de Turin (1976-1986 ; 1991-1994) ou encore le Bayern Munich (1994-1995), Giovanni Luciano Giuseppe Trapattoni pourrait entraîner la Côte d’Ivoire. C’est en tout cas ce qu’a déclaré, mardi, le coach transalpin au micro de Rai Radio 2. «Je vais devenir le nouveau sélectionneur de la Côte d’Ivoire, tout sera officiel dans quinze jours (…) Le Maroc m’a également proposé un poste, mais j’ai pris 48 heures de réflexion et j’ai finalement choisi la Côte d’Ivoire». Quel crédit faut-il donner à de telles déclarations qui sentent de loin le forcing du vieil Italien. Il y a trois mois déjà, le même Trapattoni affirmait avoir été contacté par la Fédération ivoirienne de football (FIF) mais aussi par celle du Maroc. Sans suite… Giovanni Trapattoni avait, en effet, assuré au site italien Panorama.it qu'il avait reçu plusieurs propositions de plusieurs pays dont le Maroc et la Côte d'Ivoire. D'autres sources médiatiques assuraient qu'il aurait demandé au Maroc un million d'euros soit 655 millions FCfa comme salaire mensuel ( !?). Aux dernières nouvelles, ce salaire ne convenait point à la Fédération marocaine de football qui aurait fixé un salaire de 120 mille euros (78 millions 600.000 FCfa) à ne pas dépasser pour le sélectionneur national. Et finalement, l’ex-gardien marocain Badou Zaki a été préféré. Doit-on en déduire que la Fédération ivoirienne de football a donné des garanties à Trapattoni au sujet de ses émoluments dignes de ceux d’un mercenaire ? Voudrait-on lui offrir une retraite dorée ? En attendant, nos sources au ministère des Sports et loisirs jurent que la désignation du remplaçant de Sabri Lamouchi ne sera pas une partie de plaisir. Certes, le choix du sélectionneur national incombe aux dirigeants de FIF mais il ne saurait être fait en solo. Et en l'état actuel, la transparence va être de mise dans la désignation du nouveau patron de l'encadrement technique des Éléphants. Les choses devraient aller vite pour aborder les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations «Maroc 2015» dans les meilleures conditions. Une chose est sûre, et nos sources sont formelles, «personne n'a encore été désigné pour succéder à Sabri Lamouchi».
Guy-Florentin Yameogo
Après l’Italie (2000-2004), l’Irlande (2008-2013), le Milan AC (1974-1976), la Juventus de Turin (1976-1986 ; 1991-1994) ou encore le Bayern Munich (1994-1995), Giovanni Luciano Giuseppe Trapattoni pourrait entraîner la Côte d’Ivoire. C’est en tout cas ce qu’a déclaré, mardi, le coach transalpin au micro de Rai Radio 2. «Je vais devenir le nouveau sélectionneur de la Côte d’Ivoire, tout sera officiel dans quinze jours (…) Le Maroc m’a également proposé un poste, mais j’ai pris 48 heures de réflexion et j’ai finalement choisi la Côte d’Ivoire». Quel crédit faut-il donner à de telles déclarations qui sentent de loin le forcing du vieil Italien. Il y a trois mois déjà, le même Trapattoni affirmait avoir été contacté par la Fédération ivoirienne de football (FIF) mais aussi par celle du Maroc. Sans suite… Giovanni Trapattoni avait, en effet, assuré au site italien Panorama.it qu'il avait reçu plusieurs propositions de plusieurs pays dont le Maroc et la Côte d'Ivoire. D'autres sources médiatiques assuraient qu'il aurait demandé au Maroc un million d'euros soit 655 millions FCfa comme salaire mensuel ( !?). Aux dernières nouvelles, ce salaire ne convenait point à la Fédération marocaine de football qui aurait fixé un salaire de 120 mille euros (78 millions 600.000 FCfa) à ne pas dépasser pour le sélectionneur national. Et finalement, l’ex-gardien marocain Badou Zaki a été préféré. Doit-on en déduire que la Fédération ivoirienne de football a donné des garanties à Trapattoni au sujet de ses émoluments dignes de ceux d’un mercenaire ? Voudrait-on lui offrir une retraite dorée ? En attendant, nos sources au ministère des Sports et loisirs jurent que la désignation du remplaçant de Sabri Lamouchi ne sera pas une partie de plaisir. Certes, le choix du sélectionneur national incombe aux dirigeants de FIF mais il ne saurait être fait en solo. Et en l'état actuel, la transparence va être de mise dans la désignation du nouveau patron de l'encadrement technique des Éléphants. Les choses devraient aller vite pour aborder les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations «Maroc 2015» dans les meilleures conditions. Une chose est sûre, et nos sources sont formelles, «personne n'a encore été désigné pour succéder à Sabri Lamouchi».
Guy-Florentin Yameogo