La Côte d’Ivoire est à la recherche d’un sélectionneur national. Car, depuis la démission de Sabri Lamouchi. Des candidats à ce poste se bousculent aux portes. Hervé Renard, Giovanni Trapattoni déjà intéressés par la destination Côte d’Ivoire. Giovanni Trapattoni s’est proclamé le sélectionneur des Eléphants. « « Je vais devenir le nouveau sélectionneur de la Côte d’Ivoire, tout sera officiel dans quinze jours. Le Maroc m’a également proposé un poste, mais j’ai pris 48H de réflexion et j’ai finalement choisi la Côte d’Ivoire », a laissé entendre le technicien Italien sur un chaine de Radio Italienne. Une information que la FIF n’a ni démentie, ni confirmée. Pour certains acteurs avertis du milieu du football, Trapattonni Giovanni fait du lobbying, afin de se positionner en leader sur la short liste de la fédération. Toutefois, sa probable venue en Côte d’Ivoire n’est pas vue d’un très bon œil par le ministre Alain Lobognon. « En tant que Ministre des Sports de Côte d’Ivoire, je préfère de loin un national (Yeo Martial) à Trapattoni (75 ans) », a déclaré Alain Lobognon via son compte twitter. Alors question, pour le futur choix du sélectionneur des Eléphants, Sidy Diallo peut-il faire fi des observations des présidents de clubs ? Au risque de tomber dans les mêmes sentiers battus du mauvais de Lamouchi ? Dorénavant, les présidents de clubs souhaiteraient être associés au choix de l’entraîneur pour cette fois-ci. Ils entendent proposer une commission chargée du choix des coachs au comité exécutif de la FIF.
Un expatrié ou un local ?
Le président de la FIF a déjà mis ses conseillers à la tâche dans le choix d’un nouvel entraineur des Eléphants. A travers une commission interne de la FIF, ses conseillers qui refusent de dévoiler ce qui se prépare, disent ne pas avoir à la fois de préférence particulière. Le messie doit avoir une connaissance du football africain et européen», a lâché un membre de la commission mise en place par Sidy Diallo. Le ministre Alain Lobognon quant à lui, serait favorable à un entraineur local. «Les entraîneurs ? la Côte d’Ivoire, en compte en qualité. Que les Ivoiriens tirent d’abord les leçons des échecs des Éléphants depuis 2006 avant de s’égosiller sur le choix d’un entraîneur », a fait remarquer le ministre. De 1990 à 2014, La Côte d’Ivoire a eu cinq sélectionneurs locaux, dont deux intérimaires (Gbonké Tia en 2000) et (Georges Kouadio en 2010 ). Yeo Martial et Zahoui François ont marqué l’esprit des Ivoiriens. Yéo Martial pour avoir remporté la CAN 1992, et Zahoui François pour le parcours remarquable lors de la CAN 2012 (finaliste).
Dans cette course à la recherche d’un coach pour la CAN 2015, bon nombre d’Ivoiriens « fatigués » des « expatriés » espèrent le retour de Zahoui François. Outre Zahoui François, le nom de Kamara Ibrahim, ancien sélectionneur des cadets est évoqué. Et parlant d’expatriés, la sélection Ivoirienne en a connu en 24 ans, treize (13). Avec cette génération dite dorée, six entraîneurs, dont Henri Michel, Ulrich Stielike et Vahid Halilhodžić pour ne citer que ces noms, n’ont pu remporter un trophée continental avec les Eléphants. Pour toutes ces raisons certains acteurs en attendant la mise en place de la commission souhaitée par les présidents de clubs, proposent la piste d’un entraîneur ivoirien de souche. « Nous entendons l’arrivée de Trapattoni. S’il faut prendre quelqu’un qui a annoncé sa retraite, il y a de cela longtemps, la FIF serait dans la continuité. Je préfère un entraineur local. Zahoui est mieux placé que lui. S’il faut prendre un expatrié, il faut obligatoirement qu’il ait fait ses preuves», a souligné Khalid Mehdi, président de Cosmos FC.
Ange Kouadio
Un expatrié ou un local ?
Le président de la FIF a déjà mis ses conseillers à la tâche dans le choix d’un nouvel entraineur des Eléphants. A travers une commission interne de la FIF, ses conseillers qui refusent de dévoiler ce qui se prépare, disent ne pas avoir à la fois de préférence particulière. Le messie doit avoir une connaissance du football africain et européen», a lâché un membre de la commission mise en place par Sidy Diallo. Le ministre Alain Lobognon quant à lui, serait favorable à un entraineur local. «Les entraîneurs ? la Côte d’Ivoire, en compte en qualité. Que les Ivoiriens tirent d’abord les leçons des échecs des Éléphants depuis 2006 avant de s’égosiller sur le choix d’un entraîneur », a fait remarquer le ministre. De 1990 à 2014, La Côte d’Ivoire a eu cinq sélectionneurs locaux, dont deux intérimaires (Gbonké Tia en 2000) et (Georges Kouadio en 2010 ). Yeo Martial et Zahoui François ont marqué l’esprit des Ivoiriens. Yéo Martial pour avoir remporté la CAN 1992, et Zahoui François pour le parcours remarquable lors de la CAN 2012 (finaliste).
Dans cette course à la recherche d’un coach pour la CAN 2015, bon nombre d’Ivoiriens « fatigués » des « expatriés » espèrent le retour de Zahoui François. Outre Zahoui François, le nom de Kamara Ibrahim, ancien sélectionneur des cadets est évoqué. Et parlant d’expatriés, la sélection Ivoirienne en a connu en 24 ans, treize (13). Avec cette génération dite dorée, six entraîneurs, dont Henri Michel, Ulrich Stielike et Vahid Halilhodžić pour ne citer que ces noms, n’ont pu remporter un trophée continental avec les Eléphants. Pour toutes ces raisons certains acteurs en attendant la mise en place de la commission souhaitée par les présidents de clubs, proposent la piste d’un entraîneur ivoirien de souche. « Nous entendons l’arrivée de Trapattoni. S’il faut prendre quelqu’un qui a annoncé sa retraite, il y a de cela longtemps, la FIF serait dans la continuité. Je préfère un entraineur local. Zahoui est mieux placé que lui. S’il faut prendre un expatrié, il faut obligatoirement qu’il ait fait ses preuves», a souligné Khalid Mehdi, président de Cosmos FC.
Ange Kouadio
