La Communauté des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) devrait adopter un tarif douanier commun à partir du 1er janvier 2015, a annoncé jeudi à Accra le président ghanéen John Dramani Mahama.
M. Mahama, qui assume la présidence de la CEDEAO, a tenu ces propos lors de son discours d’ouverture à la 45ème session ordinaire de l’organisation sous-régionale.
Les chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO ont décidé en 2006 de mettre en place un système commun composé de quatre niveaux de tarifs douaniers, qui doit lui-même ouvrir la voie à des Accords de partenariat économique (APE) avec l’Union européenne (UE).
Le président Mahama a également appelé les pays membres à travailler dur pour éliminer les goulets d’étranglement freinant les affaires dans la région.
"Certains de nos hommes et femmes d’affaires se plaignent que, en plus du paiement de tous les droits et taxes applicables, ils sont toujours confrontés à des situations et à des entraves qui rendent souvent prohibitif pour eux de faire avec les pays de la sous-région", a-t-il déclaré.
De plus, les longs délais d’inspection et les retards coûteux, ainsi que les exigences dans certains pays membres de paiement de charges officielles ou informelles, constituent des défis qui rendent les produits de la région non-compétitifs.
Le sommet accueille 15 chefs d’État ainsi que des délégations de pays voisins, et des représentants de l’ONU et de l’UA.
M. Mahama, qui assume la présidence de la CEDEAO, a tenu ces propos lors de son discours d’ouverture à la 45ème session ordinaire de l’organisation sous-régionale.
Les chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO ont décidé en 2006 de mettre en place un système commun composé de quatre niveaux de tarifs douaniers, qui doit lui-même ouvrir la voie à des Accords de partenariat économique (APE) avec l’Union européenne (UE).
Le président Mahama a également appelé les pays membres à travailler dur pour éliminer les goulets d’étranglement freinant les affaires dans la région.
"Certains de nos hommes et femmes d’affaires se plaignent que, en plus du paiement de tous les droits et taxes applicables, ils sont toujours confrontés à des situations et à des entraves qui rendent souvent prohibitif pour eux de faire avec les pays de la sous-région", a-t-il déclaré.
De plus, les longs délais d’inspection et les retards coûteux, ainsi que les exigences dans certains pays membres de paiement de charges officielles ou informelles, constituent des défis qui rendent les produits de la région non-compétitifs.
Le sommet accueille 15 chefs d’État ainsi que des délégations de pays voisins, et des représentants de l’ONU et de l’UA.