Abidjan - Trente-neuf personnes ont péri dans les inondations et glissements de terrain liés aux fortes pluies qui s’abattent sur la Côte d’Ivoire depuis un mois, selon un nouveau bilan annoncé vendredi de source officielle.
Un précédent bilan faisait état de 23 morts.
La majorité des victimes sont mortes à Abidjan, où 23 décès provoqués par des glissements de terrain avaient été recensés le 19 juin.
"Ce bilan comprend également les catastrophes à l’intérieur du pays", a précisé à l’AFP le général Fiacre Kili, en charge de l’Office national de
protection civile.
Cinq personnes ont péri le week-end dernier dans des inondations qui ont frappé des villages proches de Grand Lahou, une ville située à une centaine de kilomètres de la capitale économique ivoirienne.
Plusieurs dizaines de milliers d’habitants vivent dans le département de Grand Lahou, où se croisent les eaux d’une lagune, du golfe de Guinée et d’un des principaux fleuves ivoiriens, le Bandama.
Plusieurs centaines de maisons avaient en outre été détruites dans la
ville, notamment dans des glissements de terrain.
Ceux-ci causent chaque année ou presque des pertes humaines à Abidjan. En juin 2009, 21 personnes avaient péri dans la capitale économique ivoirienne, contre sept en 2008 et onze en 2011.
Les victimes sont essentiellement des habitants de quartiers dits
précaires, pauvres en infrastructures et adossés à des collines instables en cas de fortes pluies.
Après un mois de précipitations presque continues, et une pluviométrie bien supérieure à la normale, Abidjan a retrouvé depuis quelques jours un temps plus clément, qui a pour l’instant mis un terme à ces sinistres.
ck-jf/sba
Un précédent bilan faisait état de 23 morts.
La majorité des victimes sont mortes à Abidjan, où 23 décès provoqués par des glissements de terrain avaient été recensés le 19 juin.
"Ce bilan comprend également les catastrophes à l’intérieur du pays", a précisé à l’AFP le général Fiacre Kili, en charge de l’Office national de
protection civile.
Cinq personnes ont péri le week-end dernier dans des inondations qui ont frappé des villages proches de Grand Lahou, une ville située à une centaine de kilomètres de la capitale économique ivoirienne.
Plusieurs dizaines de milliers d’habitants vivent dans le département de Grand Lahou, où se croisent les eaux d’une lagune, du golfe de Guinée et d’un des principaux fleuves ivoiriens, le Bandama.
Plusieurs centaines de maisons avaient en outre été détruites dans la
ville, notamment dans des glissements de terrain.
Ceux-ci causent chaque année ou presque des pertes humaines à Abidjan. En juin 2009, 21 personnes avaient péri dans la capitale économique ivoirienne, contre sept en 2008 et onze en 2011.
Les victimes sont essentiellement des habitants de quartiers dits
précaires, pauvres en infrastructures et adossés à des collines instables en cas de fortes pluies.
Après un mois de précipitations presque continues, et une pluviométrie bien supérieure à la normale, Abidjan a retrouvé depuis quelques jours un temps plus clément, qui a pour l’instant mis un terme à ces sinistres.
ck-jf/sba