Abidjan- Le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a procédé, lundi, à l’inauguration d’un hôpital général à Adjamé, le premier "établissement hospitalier de référence" dont dispose à ce jour cette commune.
Adjamé, commune centre, où vivent un peu plus de "300 mille habitants" et, par où transitent par ailleurs un peu plus "400 mille" personnes chaque jour, du fait du bouillonnement de l’activité commerciale, ne disposait en effet d’aucun établissement de ce type, signale-t-on.
"Un handicap pour le suivi des soins" des populations, a relevé le Président Ouattara lors de la cérémonie d’inauguration.
Celui-ci s’est pour ce faire félicité et a marqué sa joie d’ouvrir officiellement cet hôpital qui "vient à point nommé pour résoudre ce problème".
Il a rappelé par ailleurs que cet ouvrage est un autre pas vers la réalisation de son ambition d’offrir aux populations un meilleur accès aux soins de santé comme promis lors des campagnes électorales.
"Notre ambition est d’offrir à chacun la possibilité d’être dans les conditions de santé requises pour prendre sa part au travail de reconstruction du pays", a-t-il déclaré, notant que "notre marche vers l’émergence ne peut se concevoir sans le volet social", avec au premier rang les questions de santé.
Avec une capacité d’accueil de 100 lits, l’hôpital général d’Adjamé, un bâtiment R+1, est bâti sur l’emplacement de l’ancien dispensaire d’Adjamé, jouxtant le centre anti tuberculeux.
Sa construction notamment les travaux de finition et son équipement, réalisés au titre du programme présidentiel d’urgence (PPU) ont mobilisé quelque deux milliards d FCFA (1,2 milliards pour les équipements et 800 millions pour les travaux d’infrastructure).
C’est dans les années 2000 qu’un groupe d’opérateurs économiques libanais sollicités par la mairie d’Adjamé a entamé les travaux de construction de cet hôpital général. Les bâtiments ont été remis en 2008 au gouvernement à travers le ministère de la santé et de la lutte contre le Sida à charge d’effectuer les travaux de finition et de l’équiper. Le projet a été ainsi inscrit au PPU en 2011.
90 agents dont 15 médecins, trois pharmaciens, 27 infirmiers d’Etat, 24 sages-femmes, six techniciens, six ingénieurs, deux aides-soignants et une fille de salle assurent, à ce jour, le service dans cet établissement qui offre des soins à minima depuis le 12 mai.
kg/ask
Adjamé, commune centre, où vivent un peu plus de "300 mille habitants" et, par où transitent par ailleurs un peu plus "400 mille" personnes chaque jour, du fait du bouillonnement de l’activité commerciale, ne disposait en effet d’aucun établissement de ce type, signale-t-on.
"Un handicap pour le suivi des soins" des populations, a relevé le Président Ouattara lors de la cérémonie d’inauguration.
Celui-ci s’est pour ce faire félicité et a marqué sa joie d’ouvrir officiellement cet hôpital qui "vient à point nommé pour résoudre ce problème".
Il a rappelé par ailleurs que cet ouvrage est un autre pas vers la réalisation de son ambition d’offrir aux populations un meilleur accès aux soins de santé comme promis lors des campagnes électorales.
"Notre ambition est d’offrir à chacun la possibilité d’être dans les conditions de santé requises pour prendre sa part au travail de reconstruction du pays", a-t-il déclaré, notant que "notre marche vers l’émergence ne peut se concevoir sans le volet social", avec au premier rang les questions de santé.
Avec une capacité d’accueil de 100 lits, l’hôpital général d’Adjamé, un bâtiment R+1, est bâti sur l’emplacement de l’ancien dispensaire d’Adjamé, jouxtant le centre anti tuberculeux.
Sa construction notamment les travaux de finition et son équipement, réalisés au titre du programme présidentiel d’urgence (PPU) ont mobilisé quelque deux milliards d FCFA (1,2 milliards pour les équipements et 800 millions pour les travaux d’infrastructure).
C’est dans les années 2000 qu’un groupe d’opérateurs économiques libanais sollicités par la mairie d’Adjamé a entamé les travaux de construction de cet hôpital général. Les bâtiments ont été remis en 2008 au gouvernement à travers le ministère de la santé et de la lutte contre le Sida à charge d’effectuer les travaux de finition et de l’équiper. Le projet a été ainsi inscrit au PPU en 2011.
90 agents dont 15 médecins, trois pharmaciens, 27 infirmiers d’Etat, 24 sages-femmes, six techniciens, six ingénieurs, deux aides-soignants et une fille de salle assurent, à ce jour, le service dans cet établissement qui offre des soins à minima depuis le 12 mai.
kg/ask