CONAKRY -- L'Union africaine a transféré mardi à la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) les responsabilités dans la mise en oeuvre du programme d'aménagement intégré du massif du Fouta Djallon, suivant un protocole d'accord signé à Conakry.
Ce programme concerne les huit pays tributaires des eaux provenant du massif montagneux du Fouta Djallon, à savoir la Guinée, la Guinée-Bissau, la Gambie, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et la Sierra Leone.
L'objectif du programme est de garantir la protection et l'utilisation rationnelle des ressources naturelles du massif afin de contribuer à améliorer les niveaux de vie des populations vivant dans les hauts plateaux.
Jusque là, ce programme était piloté par la Commission de l'Union Africaines à travers un bureau dénommé Bureau de coordination internationale de l'UA basé à Conakry.
Le commissaire de la CEDEAO, Ataga Marc Lapodin, chargé de l'agriculture, de l'environnement et de ressources en eau, a précisé au cours d'une concertation que son institution compte oeuvrer pour revaloriser les ressources naturelles et faire revivre le couvert végétal et l'écosystème du massif avec le financement de plusieurs projet d'agricultures et environnementaux.
Il estime qu'il faut fédérer les efforts des pays membres dans le but d'exploiter de manière rationnelle et durable les ressources qui appartiennent à tous.
Ce programme d'aménagement intégré de 10 ans est axé sur une population de 100 millions d'habitants, dépourvues de toutes sources de revenus fiables.
Le massif du Fouta Djallon est constitué de plusieurs hauts bassins qui sont situés au centre de la Guinée et se prolongent en Guinée-Bissau, au Mali, au Sénégal et en Sierra Leone.
Il abrite la source de plusieurs grands fleuves en Afrique de l'ouest.
Ce programme concerne les huit pays tributaires des eaux provenant du massif montagneux du Fouta Djallon, à savoir la Guinée, la Guinée-Bissau, la Gambie, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et la Sierra Leone.
L'objectif du programme est de garantir la protection et l'utilisation rationnelle des ressources naturelles du massif afin de contribuer à améliorer les niveaux de vie des populations vivant dans les hauts plateaux.
Jusque là, ce programme était piloté par la Commission de l'Union Africaines à travers un bureau dénommé Bureau de coordination internationale de l'UA basé à Conakry.
Le commissaire de la CEDEAO, Ataga Marc Lapodin, chargé de l'agriculture, de l'environnement et de ressources en eau, a précisé au cours d'une concertation que son institution compte oeuvrer pour revaloriser les ressources naturelles et faire revivre le couvert végétal et l'écosystème du massif avec le financement de plusieurs projet d'agricultures et environnementaux.
Il estime qu'il faut fédérer les efforts des pays membres dans le but d'exploiter de manière rationnelle et durable les ressources qui appartiennent à tous.
Ce programme d'aménagement intégré de 10 ans est axé sur une population de 100 millions d'habitants, dépourvues de toutes sources de revenus fiables.
Le massif du Fouta Djallon est constitué de plusieurs hauts bassins qui sont situés au centre de la Guinée et se prolongent en Guinée-Bissau, au Mali, au Sénégal et en Sierra Leone.
Il abrite la source de plusieurs grands fleuves en Afrique de l'ouest.