Ferkessédougou - Les musulmans de Ferkessédougou (nord, région du Tchologo) ont demandé à Dieu de faire venir régulièrement la pluie, vendredi, à la grande mosquée du quartier Dioulabougou, à l'occasion de la prière de la Djoumah (prière du vendredi).
"Nous avons tant besoin de pluie. Les pluies sont très rares cette année. Nous demandons à Allah de nous envoyer enfin la pluie. Il faut qu'il fasse descendre enfin la pluie, de façon régulière. Nos cultivateurs en ont besoin pour leurs activités. Nos habitants en ont également besoin pour leurs puits, leurs marigots pour les fontaines, les cours d'eau", a indiqué l'Imam Bri Dramé.
Tous les fidèles musulmans ont prié avec les bénédictions du Cheickh Diarra. Il est temps de rappeler que les pluies se font rares à Ferké depuis le démarrage de la saison qui est supposée être très pluvieuse.
Des personnes sans doute déprimées, accusent ouvertement, des pratiques occultes pour "attraper" la pluie. D'autres, plus superstitieuses, déplorent l'abattage par des braconniers, d'un hippopotame mâle dans le fleuve du Bandama.
Ce fleuve, il faut le reconnaître, s'est complètement asséché si bien que les piétons peuvent désormais le traverser à pied.
Ce phénomène de rareté des pluies est inhabituel dans la région, signale-t-on par ailleurs.
(AIP)
ti/kkf/cmas
"Nous avons tant besoin de pluie. Les pluies sont très rares cette année. Nous demandons à Allah de nous envoyer enfin la pluie. Il faut qu'il fasse descendre enfin la pluie, de façon régulière. Nos cultivateurs en ont besoin pour leurs activités. Nos habitants en ont également besoin pour leurs puits, leurs marigots pour les fontaines, les cours d'eau", a indiqué l'Imam Bri Dramé.
Tous les fidèles musulmans ont prié avec les bénédictions du Cheickh Diarra. Il est temps de rappeler que les pluies se font rares à Ferké depuis le démarrage de la saison qui est supposée être très pluvieuse.
Des personnes sans doute déprimées, accusent ouvertement, des pratiques occultes pour "attraper" la pluie. D'autres, plus superstitieuses, déplorent l'abattage par des braconniers, d'un hippopotame mâle dans le fleuve du Bandama.
Ce fleuve, il faut le reconnaître, s'est complètement asséché si bien que les piétons peuvent désormais le traverser à pied.
Ce phénomène de rareté des pluies est inhabituel dans la région, signale-t-on par ailleurs.
(AIP)
ti/kkf/cmas