Une quarantaine de professionnels des media, issus des régions du Haut-Sassandra de la Marahoué, du Gôh, de San Pedro, ont pris part à un atelier de renforcement de capacités aux notions du droit, initié par l’ONG Transparency Justice, en partenariat avec l’Ambassade de France en Côte d’Ivoire et la Fondation Friedrich Ebert.
L’objectif spécifique de cette initiative est de permettre aux journalistes de la presse écrite et audiovisuelle, animateurs de radio de proximité, correspondants et pigistes locaux de presse, un meilleur traitement des sujets d’ordre juridique et judiciaire, dans un cadre global de la consolidation de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire.
Les participants ont, à cet effet, été instruits autour de trois modules dont l’organisation judiciaire ivoirienne, les termes juridiques et judiciaires, les règles et procédures d’accès à la justice et les principaux actes de justice.
Selon le formateur, M. Djedjet Golly Séraphin, magistrat et secrétaire général de Transparency Justice, "il a été noté que les hommes des media, dans les comptes-rendus qu’ils font des événements juridiques et judiciaires, n’emploient pas toujours les termes exacts". "D’où ce besoin de formation pour leur permettre de mieux informer les populations sur leurs droits et sur l’accès à la justice, afin de les amener à s’adresser plus aisément à la justice étatique pour voir triompher leurs différents droits", a-t-il justifié.
En effet, l’analyse de la situation en Côte d’Ivoire, selon le constat de l’ONG, révèle que "la majorité des reportages portant sur la justice contiennent des contresens, des malentendus voire des erreurs". Des carences dues pour la plupart à la méconnaissance du monde judiciaire par les journalistes, ainsi que la non maîtrise des termes juridiques.
Selon la même analyse, ces insuffisances constatées dans les reportages sur le monde judiciaire accroissent le fossé, déjà grandissant entre les acteurs de la justice et les populations.
Cette situation dommageable dans un contexte de sortie de crise, a conduit dit-on, l’ONG Transparency Justice à élaborer ce projet de formation devant, à terme, renforcer les capacités d’au moins 320 professionnels de media, pour la promotion d’une justice de qualité et de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire.
yy/tm
L’objectif spécifique de cette initiative est de permettre aux journalistes de la presse écrite et audiovisuelle, animateurs de radio de proximité, correspondants et pigistes locaux de presse, un meilleur traitement des sujets d’ordre juridique et judiciaire, dans un cadre global de la consolidation de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire.
Les participants ont, à cet effet, été instruits autour de trois modules dont l’organisation judiciaire ivoirienne, les termes juridiques et judiciaires, les règles et procédures d’accès à la justice et les principaux actes de justice.
Selon le formateur, M. Djedjet Golly Séraphin, magistrat et secrétaire général de Transparency Justice, "il a été noté que les hommes des media, dans les comptes-rendus qu’ils font des événements juridiques et judiciaires, n’emploient pas toujours les termes exacts". "D’où ce besoin de formation pour leur permettre de mieux informer les populations sur leurs droits et sur l’accès à la justice, afin de les amener à s’adresser plus aisément à la justice étatique pour voir triompher leurs différents droits", a-t-il justifié.
En effet, l’analyse de la situation en Côte d’Ivoire, selon le constat de l’ONG, révèle que "la majorité des reportages portant sur la justice contiennent des contresens, des malentendus voire des erreurs". Des carences dues pour la plupart à la méconnaissance du monde judiciaire par les journalistes, ainsi que la non maîtrise des termes juridiques.
Selon la même analyse, ces insuffisances constatées dans les reportages sur le monde judiciaire accroissent le fossé, déjà grandissant entre les acteurs de la justice et les populations.
Cette situation dommageable dans un contexte de sortie de crise, a conduit dit-on, l’ONG Transparency Justice à élaborer ce projet de formation devant, à terme, renforcer les capacités d’au moins 320 professionnels de media, pour la promotion d’une justice de qualité et de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire.
yy/tm