La directrice nationale de l’Association de soutien à l’autopromotion sanitaire urbaine (ASAPSU), Mme Solange Koné, a fait don mercredi de kits d’installation aux 224 apprenants de la promotion 2013-2014 du centre de formation professionnelle de Tabou.
Lors d’une cérémonie qui s’est déroulée au foyer communautaire, elle leur a offert des machines, des casques de coiffure, du matériel de maçonnerie ou de menuiserie, en présence des autorités administratives, politiques et traditionnelles, de responsables d’organisations humanitaires et de la direction régionale de la formation professionnelle.
"Ces apprenants ont fait entre trois et six mois de formation en couture, coiffure, menuiserie, gestion coopérative, informatique ou anglais", a-t-elle relevé, expliquant que l’objectif de l’ASAPSU est "d’assurer l’insertion sociale et l’autonomie de ces jeunes qui doivent désormais se prendre en charge et sortir de la pauvreté".
"Il est important pour eux de se mettre au travail, car il n’y a pas de petits métiers. Tous les métiers sont essentiels", a-t-elle souligné.
Le centre de formation professionnelle de Tabou a été construit en 1995 par le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Fermé à cause de la crise, il a rouvert en novembre 2013. La formation y est assurée par une quinzaine d'enseignants.
bb/aaa/kkp/ask
Lors d’une cérémonie qui s’est déroulée au foyer communautaire, elle leur a offert des machines, des casques de coiffure, du matériel de maçonnerie ou de menuiserie, en présence des autorités administratives, politiques et traditionnelles, de responsables d’organisations humanitaires et de la direction régionale de la formation professionnelle.
"Ces apprenants ont fait entre trois et six mois de formation en couture, coiffure, menuiserie, gestion coopérative, informatique ou anglais", a-t-elle relevé, expliquant que l’objectif de l’ASAPSU est "d’assurer l’insertion sociale et l’autonomie de ces jeunes qui doivent désormais se prendre en charge et sortir de la pauvreté".
"Il est important pour eux de se mettre au travail, car il n’y a pas de petits métiers. Tous les métiers sont essentiels", a-t-elle souligné.
Le centre de formation professionnelle de Tabou a été construit en 1995 par le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Fermé à cause de la crise, il a rouvert en novembre 2013. La formation y est assurée par une quinzaine d'enseignants.
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