Abidjan – Le tiers de la population du Sahel n’a pas accès à une nourriture équilibrée pour pouvoir mener ‘’une vie saine et normale’’ et des activités de développement, a révélé mardi, à Saly-Portudal (Mbour, Sénégal), l’ingénieur agro-économique, Issa Martin Bikienga.
‘’Dans le Sahel, on a dépassé le seuil de 10%, ce qui est trop. A ce stade-là, la situation est qualifiée d’extrêmement grave. C’est pourquoi nous devons nous battre pour enrayer la malnutrition dans nos pays’’, a indiqué M. Bikienga, coordonnateur de la Cellule technique de l’Alliance globale pour la résilience Sahel-Afrique de l’Ouest (AGIR).
Issa Martin Bikienga a toutefois précisé que la situation ''varie d’un pays à un autre''. Il s’exprimait dans le cadre de la réunion d’évaluation de conformité et de pertinence des processus de dialogue et documents provisoires PRP-pays.
La rencontre se tient à l’initiative de la Cellule technique de l’Alliance globale pour la résilience Sahel-Afrique de l’Ouest du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel AGIR/CILSS.
Selon lui, un des facteurs les plus importants de l’insécurité alimentaire c’est le phénomène du changement climatique. ''Ce qui fait que les pluies, présentement, deviennent capricieuses, avec des pays dans lesquels la saison agricole a très mal démarré, avec des séquences de sécheresse qui sont ‘’longues et fréquentes’’, a-t-il dit.
‘’Cela veut dire que l’un des facteurs de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle de nos pays c’est la fragilité écologique du Sahel. Et les changements climatiques sont venus l’aggraver. Il y a aussi la pauvreté structurelle des ménages qui est telle que beaucoup de personnes, aujourd’hui, n’ont pas accès à la nourriture. En plus de cela, la malnutrition gagne du terrain au niveau du Sahel’’, a insisté Issa Martin Bikienga.
Pour lui, la malnutrition est ‘’un mal silencieux’’ qui est un problème ‘’très sérieux’’ pour l’ensemble des pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
Des délégués venus du Mali, du Tchad, du Niger, du Burkina Faso, de la Guinée-Bissau, du Togo et du Sénégal prennent part à cette réunion qui prend fin vendredi.
‘’Dans le Sahel, on a dépassé le seuil de 10%, ce qui est trop. A ce stade-là, la situation est qualifiée d’extrêmement grave. C’est pourquoi nous devons nous battre pour enrayer la malnutrition dans nos pays’’, a indiqué M. Bikienga, coordonnateur de la Cellule technique de l’Alliance globale pour la résilience Sahel-Afrique de l’Ouest (AGIR).
Issa Martin Bikienga a toutefois précisé que la situation ''varie d’un pays à un autre''. Il s’exprimait dans le cadre de la réunion d’évaluation de conformité et de pertinence des processus de dialogue et documents provisoires PRP-pays.
La rencontre se tient à l’initiative de la Cellule technique de l’Alliance globale pour la résilience Sahel-Afrique de l’Ouest du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel AGIR/CILSS.
Selon lui, un des facteurs les plus importants de l’insécurité alimentaire c’est le phénomène du changement climatique. ''Ce qui fait que les pluies, présentement, deviennent capricieuses, avec des pays dans lesquels la saison agricole a très mal démarré, avec des séquences de sécheresse qui sont ‘’longues et fréquentes’’, a-t-il dit.
‘’Cela veut dire que l’un des facteurs de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle de nos pays c’est la fragilité écologique du Sahel. Et les changements climatiques sont venus l’aggraver. Il y a aussi la pauvreté structurelle des ménages qui est telle que beaucoup de personnes, aujourd’hui, n’ont pas accès à la nourriture. En plus de cela, la malnutrition gagne du terrain au niveau du Sahel’’, a insisté Issa Martin Bikienga.
Pour lui, la malnutrition est ‘’un mal silencieux’’ qui est un problème ‘’très sérieux’’ pour l’ensemble des pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
Des délégués venus du Mali, du Tchad, du Niger, du Burkina Faso, de la Guinée-Bissau, du Togo et du Sénégal prennent part à cette réunion qui prend fin vendredi.