Abidjan - Le président de la conférence annuelle de l’Eglise méthodiste unie Côte d’Ivoire (EUMCI), Bishop Benjamin Boni, a tendu, dimanche dans son sermon du culte du centenaire, la main à ses dissidents, affirmant qu’en dépit des difficultés, l'église restera ouverte à la réconciliation.
« En ce qui concerne l’Eglise méthodiste unie Côte d’Ivoire, depuis sa phase embryonnaire jusqu’à ce jour, pasteurs et laïcs, missionnaires et simples membres, se sont engagés comme John Wesley, à faire du monde leur paroisse malgré quelques pages difficiles dans sa marche centenaire : 1957, 1968, 2008.
Difficultés par rapport auxquelles elle restera toujours les pieds mobiles et les bras ouverts pour la réconciliation », a notamment déclaré le Bishop Boni.
Il s’est donc réjoui de la présence à la cérémonie de son prédécesseur à la tête de l’Eglise, Lambert Akossi N’Cho(1990-1998), qui pour avoir été mis à la retraite après avoir atteint la limite d’âge selon les textes de confession, avait rejoint le groupe des dissidents qui s’opposent à la nouvelle appellation de l’Eglise.
Dans sa marche évolutive, l’EMUCI, jadis connue sous le nom d’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire (EPMCI), a connu des crises qui lui ont valu des saignées au niveau des membres. La dernière en date est celle de 2008 qui a valu un procès à l’actuel Bishop Boni de la part de la branche qui revendiquait le patrimoine de l’Eglise. Un procès gagné par la conférence de l’EMUCI.
« En ce qui concerne l’Eglise méthodiste unie Côte d’Ivoire, depuis sa phase embryonnaire jusqu’à ce jour, pasteurs et laïcs, missionnaires et simples membres, se sont engagés comme John Wesley, à faire du monde leur paroisse malgré quelques pages difficiles dans sa marche centenaire : 1957, 1968, 2008.
Difficultés par rapport auxquelles elle restera toujours les pieds mobiles et les bras ouverts pour la réconciliation », a notamment déclaré le Bishop Boni.
Il s’est donc réjoui de la présence à la cérémonie de son prédécesseur à la tête de l’Eglise, Lambert Akossi N’Cho(1990-1998), qui pour avoir été mis à la retraite après avoir atteint la limite d’âge selon les textes de confession, avait rejoint le groupe des dissidents qui s’opposent à la nouvelle appellation de l’Eglise.
Dans sa marche évolutive, l’EMUCI, jadis connue sous le nom d’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire (EPMCI), a connu des crises qui lui ont valu des saignées au niveau des membres. La dernière en date est celle de 2008 qui a valu un procès à l’actuel Bishop Boni de la part de la branche qui revendiquait le patrimoine de l’Eglise. Un procès gagné par la conférence de l’EMUCI.