A l'occasion d'un débat au Conseil de sécurité jeudi sur la prévention des conflits, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a encouragé le Conseil à ouvrir une nouvelle ère de coopération pour éviter une perte de crédibilité de l'Organisation des Nations Unies.
"Nous savons que si nous ne répondons pas aux crises émergentes, elles risquent de devenir plus importantes et plus coûteuses pour tout le monde", a dit M. Ban lors d'un discours devant les Etats membres du Conseil.
Selon lui, face aux multiples conflits à travers le monde, en Syrie, en Irak, à Gaza, au Soudan du Sud, en République centrafricaine, en Ukraine et ailleurs, la communauté internationale doit réexaminer et affiner son approche.
"Le Conseil de sécurité, qui porte la responsabilité principale du maintien de la paix et la sécurité internationales, a une responsabilité unique", a-t-il ajouté.
Selon lui, lorsque les États membres unissent leurs forces, ils peuvent faire beaucoup. "Le consensus de ce Conseil sur l'élimination des armes chimiques de la Syrie est un exemple récent", a-t-il dit. "Des mesures des Nations Unies, même modestes, peuvent avoir un impact important lorsque nous avons le soutien uni du Conseil de sécurité - parlant d'une seule voix - pour un engagement précoce".
Toutefois, le chef de l'ONU a noté que lorsque le consensus est limité, se réduisant au plus petit dénominateur commun, "les conséquences peuvent se mesurer par de terribles pertes en vies humaines, des souffrances énormes et par une importante perte de crédibilité de ce Conseil et de notre institution".
"Le moment est venu d'une nouvelle ère de collaboration, de coopération et d'action du Conseil de sécurité", a-t-il encore dit. "Il y a des millions de personnes à travers le monde qui espèrent et comptent sur une action commune décisive par le seul et unique organe mondial qui a pour obligation de maintenir la paix et la sécurité internationales".
"Nous savons que si nous ne répondons pas aux crises émergentes, elles risquent de devenir plus importantes et plus coûteuses pour tout le monde", a dit M. Ban lors d'un discours devant les Etats membres du Conseil.
Selon lui, face aux multiples conflits à travers le monde, en Syrie, en Irak, à Gaza, au Soudan du Sud, en République centrafricaine, en Ukraine et ailleurs, la communauté internationale doit réexaminer et affiner son approche.
"Le Conseil de sécurité, qui porte la responsabilité principale du maintien de la paix et la sécurité internationales, a une responsabilité unique", a-t-il ajouté.
Selon lui, lorsque les États membres unissent leurs forces, ils peuvent faire beaucoup. "Le consensus de ce Conseil sur l'élimination des armes chimiques de la Syrie est un exemple récent", a-t-il dit. "Des mesures des Nations Unies, même modestes, peuvent avoir un impact important lorsque nous avons le soutien uni du Conseil de sécurité - parlant d'une seule voix - pour un engagement précoce".
Toutefois, le chef de l'ONU a noté que lorsque le consensus est limité, se réduisant au plus petit dénominateur commun, "les conséquences peuvent se mesurer par de terribles pertes en vies humaines, des souffrances énormes et par une importante perte de crédibilité de ce Conseil et de notre institution".
"Le moment est venu d'une nouvelle ère de collaboration, de coopération et d'action du Conseil de sécurité", a-t-il encore dit. "Il y a des millions de personnes à travers le monde qui espèrent et comptent sur une action commune décisive par le seul et unique organe mondial qui a pour obligation de maintenir la paix et la sécurité internationales".