Le Coordonnateur du système des Nations Unies pour la maladie à virus Ebola, David Nabarro, est arrivé jeudi dans la capitale du Libéria, Monrovia, première étape d'une tournée dans les quatre pays d'Afrique de l'Ouest affectés par l'épidémie.
La chef de la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL), Karin Landgren, a déclaré que cette visite soulignait la détermination des Nations Unies à faire refluer le virus mortel.
La MINUL a réorienté une partie de ses opérations pour soutenir les efforts du gouvernement dans la lutte contre Ebola. Mme Landgren a noté que l'impact de la maladie va au-delà des personnes infectées, de leurs familles et de leurs communautés. Elle pose une menace à la santé publique, à la sécurité alimentaire et à l'économie du Libéria.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), entre le 17 et le 18 août 2014, 221 nouveaux cas de maladie à virus Ebola (cas confirmés en laboratoire, probables et suspects) et 106 décès ont été notifiés par la Guinée, le Libéria, le Nigéria et la Sierra Leone. Le nombre total de cas s'élève désormais à 2.473, dont 1.350 décès.
"Dans le monde entier, les pays se sont engagés à surveiller activement les cas de maladie à virus Ebola. L'OMS a reçu des rapports faisant état de cas suspects et de vérifications systématiques en cours dans un certain nombre de pays pour confirmer s'il s'agit bien de cas d'Ebola. Globalement, ces rapports sont le signe positif que la surveillance fonctionne et que les pays intensifient leurs préparatifs pour la riposte. A ce jour, aucun cas n'a été confirmé en dehors de la Guinée, du Libéria, du Nigéria ou de la Sierra Leone ", a dit l'OMS.
L'OMS a déclaré qu'elle continuait de faire des efforts de communication à haut niveau avec les pays affectés, les entreprises et les organisations travaillant en Afrique ou avec ce continent, ainsi qu'avec les dirigeants nationaux et les responsables mondiaux.
"Actuellement, certaines sociétés ont pris la décision de suspendre leurs activités avec les pays affectés, notamment des compagnies d'aviation et de transport. Résultat de ces décisions, les pays commencent à connaître des pénuries, notamment de carburant, de denrées alimentaires et de produits de base. L'OMS collabore avec le Programme alimentaire mondial des Nations Unies pour veiller à un approvisionnement suffisant en denrées alimentaires et fournitures, mais elle appelle les entreprises à prendre leurs décisions commerciales sur les bases de ce que l'on sait scientifiquement de la transmission du virus Ebola", a souligné l'OMS.
La chef de la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL), Karin Landgren, a déclaré que cette visite soulignait la détermination des Nations Unies à faire refluer le virus mortel.
La MINUL a réorienté une partie de ses opérations pour soutenir les efforts du gouvernement dans la lutte contre Ebola. Mme Landgren a noté que l'impact de la maladie va au-delà des personnes infectées, de leurs familles et de leurs communautés. Elle pose une menace à la santé publique, à la sécurité alimentaire et à l'économie du Libéria.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), entre le 17 et le 18 août 2014, 221 nouveaux cas de maladie à virus Ebola (cas confirmés en laboratoire, probables et suspects) et 106 décès ont été notifiés par la Guinée, le Libéria, le Nigéria et la Sierra Leone. Le nombre total de cas s'élève désormais à 2.473, dont 1.350 décès.
"Dans le monde entier, les pays se sont engagés à surveiller activement les cas de maladie à virus Ebola. L'OMS a reçu des rapports faisant état de cas suspects et de vérifications systématiques en cours dans un certain nombre de pays pour confirmer s'il s'agit bien de cas d'Ebola. Globalement, ces rapports sont le signe positif que la surveillance fonctionne et que les pays intensifient leurs préparatifs pour la riposte. A ce jour, aucun cas n'a été confirmé en dehors de la Guinée, du Libéria, du Nigéria ou de la Sierra Leone ", a dit l'OMS.
L'OMS a déclaré qu'elle continuait de faire des efforts de communication à haut niveau avec les pays affectés, les entreprises et les organisations travaillant en Afrique ou avec ce continent, ainsi qu'avec les dirigeants nationaux et les responsables mondiaux.
"Actuellement, certaines sociétés ont pris la décision de suspendre leurs activités avec les pays affectés, notamment des compagnies d'aviation et de transport. Résultat de ces décisions, les pays commencent à connaître des pénuries, notamment de carburant, de denrées alimentaires et de produits de base. L'OMS collabore avec le Programme alimentaire mondial des Nations Unies pour veiller à un approvisionnement suffisant en denrées alimentaires et fournitures, mais elle appelle les entreprises à prendre leurs décisions commerciales sur les bases de ce que l'on sait scientifiquement de la transmission du virus Ebola", a souligné l'OMS.