Le gouvernement ivoirien a condamné, lundi soir, l'attaque armée perpétrée un peu plus tôt contre le Quartier général du Front Populaire Ivoirien (FPI) dans la commune de Cocody (Est d'Abidjan), annonçant l'ouverture d'une enquête pour rechercher les auteurs de cette attaque afin qu’ils "subissent la rigueur de la loi".
"Le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, condamne fermement cet acte. Il rappelle l’obligation pour tous les citoyens de respecter strictement les locaux, les biens et les activités des partis politiques ainsi que l’intégrité physique de leurs militants, de leurs animateurs et de leurs dirigeants", indique un communiqué transmis à APA.
La consolidation de la démocratie ivoirienne, à laquelle le gouvernement reste très attaché, ajoute le texte, "passe nécessairement par la consécration des libertés individuelles et des libertés politiques".
Par conséquent, poursuit le communiqué, "il met en garde contre l’usage de la violence contre les formations politiques". "Une enquête sera ouverte par les services de sécurité qui mettront tout en œuvre pour que les auteurs de ces attaques soient recherchés et retrouvés afin qu’ils subissent la rigueur de la loi", conclut le texte.
Le QG de campagne de l’ancien président Laurent Gbagbo, servant de siège provisoire à son parti, le Front populaire ivoirien (FPI) a été attaqué par des individus non identifiés, armés de kalachnikov, lundi à la mi-journée, faisant trois blessés.
Les agresseurs, arrivés aux environs de 13 h (heure locale et GMT) ont vite, maitrisé le personnel administratif présent ‘’blessant grièvement’’ trois d’entre eux avant de faire main basse sur le matériel informatique des bureaux qu’ils ‘’ont défoncés’’.
‘’Les dégâts matériels sont énormes. Ordinateurs, téléphones, documents…, tout a été emporté’’, a précisé Franck Anderson Kouassi, le Secrétaire national chargé de la communication et du markéting politique, joint par APA.
Cette attaque intervient, 48 heures après une réunion du Comité central du FPI qui s’est terminée en ces lieux en queue de poisson. Elle n’a pu trancher la participation du parti à la Commission électorale indépendante (CEI).
LS/APA
"Le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, condamne fermement cet acte. Il rappelle l’obligation pour tous les citoyens de respecter strictement les locaux, les biens et les activités des partis politiques ainsi que l’intégrité physique de leurs militants, de leurs animateurs et de leurs dirigeants", indique un communiqué transmis à APA.
La consolidation de la démocratie ivoirienne, à laquelle le gouvernement reste très attaché, ajoute le texte, "passe nécessairement par la consécration des libertés individuelles et des libertés politiques".
Par conséquent, poursuit le communiqué, "il met en garde contre l’usage de la violence contre les formations politiques". "Une enquête sera ouverte par les services de sécurité qui mettront tout en œuvre pour que les auteurs de ces attaques soient recherchés et retrouvés afin qu’ils subissent la rigueur de la loi", conclut le texte.
Le QG de campagne de l’ancien président Laurent Gbagbo, servant de siège provisoire à son parti, le Front populaire ivoirien (FPI) a été attaqué par des individus non identifiés, armés de kalachnikov, lundi à la mi-journée, faisant trois blessés.
Les agresseurs, arrivés aux environs de 13 h (heure locale et GMT) ont vite, maitrisé le personnel administratif présent ‘’blessant grièvement’’ trois d’entre eux avant de faire main basse sur le matériel informatique des bureaux qu’ils ‘’ont défoncés’’.
‘’Les dégâts matériels sont énormes. Ordinateurs, téléphones, documents…, tout a été emporté’’, a précisé Franck Anderson Kouassi, le Secrétaire national chargé de la communication et du markéting politique, joint par APA.
Cette attaque intervient, 48 heures après une réunion du Comité central du FPI qui s’est terminée en ces lieux en queue de poisson. Elle n’a pu trancher la participation du parti à la Commission électorale indépendante (CEI).
LS/APA