Abidjan – L’ancienne capitale nigériane, Lagos, va abriter du 18 au 19 novembre, la 11ème édition Convention de l'industrie énergétique d'Afrique occidentale (West African Power Industry Convention, WAPIC).
Selon un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO) transmis jeudi à l’AIP, cette conférence et exposition consacrée à l'énergie rassemblera de nouveau le gouvernement, les services publics, les consultants et les investisseurs afin de discuter des défis des marchés locaux, du renforcement des capacités et de l'investissement.
Le chef d'entreprise et président de Heirs Holdings, Tony Elumelu, prononcera le discours d'ouverture de WAPIC. Il a déclaré que son groupe "a l'ambition de générer au moins un quart des besoins énergétiques du Nigeria au cours des cinq prochaines années". Cette société est impliquée dans le secteur de l'énergie grâce à Transcorp Ughelli Power, une centrale électrique alimentée au gaz thermique qui a été acquise dans le cadre de la privatisation du secteur de l'énergie du Nigeria.
Selon le président de Heirs Holdings, "l'industrie énergétique est un secteur catalytique et le développement de notre pays et de notre continent ne peut se faire sans la modifier."
Il décrit l'initiative Power Africa des États-Unis comme une formidable occasion de démocratiser l'accès des Africains à l'énergie. "La promesse d'investissement de 2,5 milliards de dollars que nous avons faite reflète exactement mon impatience à ce sujet", a-t-il ajouté.
''A la centrale nucléaire Ughelli, notre expérience jusqu'à présent témoigne de l'importance de l'occasion; notre formidable équipe a fait passer cette usine d'une capacité de 150 MW en novembre 2013, à 450 MW aujourd'hui. D'ici octobre, nous comptons passer à 700 MW et atteindre 1000 MW au deuxième trimestre 2015. À ce rythme-là, nous contribuerons à 20 pour cent de la production totale d'électricité du Nigeria", a-t-il poursuivi.
M. Elumelu énumère trois défis importants dans le secteur de l'énergie du Nigeria, à savoir des infrastructures de transport qui soient fiables, l'accès ininterrompu à l'approvisionnement en gaz et le règlement des factures à temps.
"Nous avons besoin d'une réglementation pragmatique qui prenne en compte qu'au Nigeria, le secteur est encore dans son enfance et que les politiques doivent être conçues afin d'encourager la croissance. Pour être juste, le gouvernement fédéral s'est attaqué de front à ces défis", a ajouté le président de Heirs Holdings.
Pour son discours d'ouverture à WAPIC à Lagos, Tony Elumelu déclare qu'il va examiner les possibilités qu’il a découvertes dans le secteur de l'énergie et les efforts des dirigeants du secteur de l'énergie en Afrique à travers le Forum des dirigeants ouest-africains de l'énergie pour améliorer l'accès à l'électricité en Afrique Occidentale.
Selon un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO) transmis jeudi à l’AIP, cette conférence et exposition consacrée à l'énergie rassemblera de nouveau le gouvernement, les services publics, les consultants et les investisseurs afin de discuter des défis des marchés locaux, du renforcement des capacités et de l'investissement.
Le chef d'entreprise et président de Heirs Holdings, Tony Elumelu, prononcera le discours d'ouverture de WAPIC. Il a déclaré que son groupe "a l'ambition de générer au moins un quart des besoins énergétiques du Nigeria au cours des cinq prochaines années". Cette société est impliquée dans le secteur de l'énergie grâce à Transcorp Ughelli Power, une centrale électrique alimentée au gaz thermique qui a été acquise dans le cadre de la privatisation du secteur de l'énergie du Nigeria.
Selon le président de Heirs Holdings, "l'industrie énergétique est un secteur catalytique et le développement de notre pays et de notre continent ne peut se faire sans la modifier."
Il décrit l'initiative Power Africa des États-Unis comme une formidable occasion de démocratiser l'accès des Africains à l'énergie. "La promesse d'investissement de 2,5 milliards de dollars que nous avons faite reflète exactement mon impatience à ce sujet", a-t-il ajouté.
''A la centrale nucléaire Ughelli, notre expérience jusqu'à présent témoigne de l'importance de l'occasion; notre formidable équipe a fait passer cette usine d'une capacité de 150 MW en novembre 2013, à 450 MW aujourd'hui. D'ici octobre, nous comptons passer à 700 MW et atteindre 1000 MW au deuxième trimestre 2015. À ce rythme-là, nous contribuerons à 20 pour cent de la production totale d'électricité du Nigeria", a-t-il poursuivi.
M. Elumelu énumère trois défis importants dans le secteur de l'énergie du Nigeria, à savoir des infrastructures de transport qui soient fiables, l'accès ininterrompu à l'approvisionnement en gaz et le règlement des factures à temps.
"Nous avons besoin d'une réglementation pragmatique qui prenne en compte qu'au Nigeria, le secteur est encore dans son enfance et que les politiques doivent être conçues afin d'encourager la croissance. Pour être juste, le gouvernement fédéral s'est attaqué de front à ces défis", a ajouté le président de Heirs Holdings.
Pour son discours d'ouverture à WAPIC à Lagos, Tony Elumelu déclare qu'il va examiner les possibilités qu’il a découvertes dans le secteur de l'énergie et les efforts des dirigeants du secteur de l'énergie en Afrique à travers le Forum des dirigeants ouest-africains de l'énergie pour améliorer l'accès à l'électricité en Afrique Occidentale.