Korhogo, Le chargé du programme renforcement des capacités, Bamba N’za, a révélé jeudi, lors d’un atelier de renforcement des capacités des leaders religieux et autorités traditionnelles de la région du Poro et de la Bagoué, que 15 cas de conflits fonciers et une dizaine de cas de mariage forcés ont été exposés à la Clinique juridique de Korhogo dans le mois d’août en vue de trouver des solutions.
Pour M. Bamba, jusqu’aujourd’hui, les conflits cultivateurs -éleveurs et les mariages précoces son fréquents malgré les sensibilisations dans la région du Poro, ajoutant que chaque semaine des cas se présentent à eux, lorsque très souvent les populations concernées ne savent plus à quel saint se vouer après l’échec du règlement amiable de ces conflits.
C’est donc pour prévenir et palier à ces différents cas que cet atelier a été initié par la Clinique juridique de Korhogo, en vue "de sensibiliser les leaders religieux et les autorités traditionnelles sur le phénomène des conflits cultivateur-éleveurs, sur la responsabilité de la société dans les mariages précoces et forcés, et le phénomène de la santé sexuelle et reproductive de l’adolescente".
Deux thèmes, à savoir "la problématique des conflits cultivateurs-éleveurs : quelles stratégies de lutte contre ce fléau" et "la santé sexuelle et reproductive des adolescentes, mariages précoces et mariages forcés : Quelles responsabilités sociétales et quelles approches de solutions face aux phénomènes ?" seront abordés au cours de cet atelier qui s’achève ce vendredi.
Les résultats attendus à ce atelier sont que les leaders religieux et les autorités traditionnelles de la région du Poro et du Bagoué connaissent les stratégies de lutte contre les conflits cultivateurs –éleveurs et la responsabilité des parents et de la société dans le phénomène des mariages forcés et mariages précoces.
Cette formation sera basée sur une stratégie d’information qui porte sur une approche interactive et participative des participants, a-t-on expliqué.
L’implantation d’une clinique juridique à Korhogo et dans différentes régions de la Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (PALAJ) financé par l’Union européenne (UE), l’UNICEF, le PNUD et l’ONUCI.
Ce projet exécuté sur une période de 23 mois, "vise à renforcer l’offre et la demande de justice en Côte d’Ivoire en permettant aux groupes vulnérables de la population de connaître leurs droits et de savoir comment les faire valoir en justice".
Les 28 participants sont issus des localités de Korhogo, Sinématiali, Dikodougou, M’Bengué, Boundiali, Tengréla et Kouto.
(AIP)
Apk /kp
Pour M. Bamba, jusqu’aujourd’hui, les conflits cultivateurs -éleveurs et les mariages précoces son fréquents malgré les sensibilisations dans la région du Poro, ajoutant que chaque semaine des cas se présentent à eux, lorsque très souvent les populations concernées ne savent plus à quel saint se vouer après l’échec du règlement amiable de ces conflits.
C’est donc pour prévenir et palier à ces différents cas que cet atelier a été initié par la Clinique juridique de Korhogo, en vue "de sensibiliser les leaders religieux et les autorités traditionnelles sur le phénomène des conflits cultivateur-éleveurs, sur la responsabilité de la société dans les mariages précoces et forcés, et le phénomène de la santé sexuelle et reproductive de l’adolescente".
Deux thèmes, à savoir "la problématique des conflits cultivateurs-éleveurs : quelles stratégies de lutte contre ce fléau" et "la santé sexuelle et reproductive des adolescentes, mariages précoces et mariages forcés : Quelles responsabilités sociétales et quelles approches de solutions face aux phénomènes ?" seront abordés au cours de cet atelier qui s’achève ce vendredi.
Les résultats attendus à ce atelier sont que les leaders religieux et les autorités traditionnelles de la région du Poro et du Bagoué connaissent les stratégies de lutte contre les conflits cultivateurs –éleveurs et la responsabilité des parents et de la société dans le phénomène des mariages forcés et mariages précoces.
Cette formation sera basée sur une stratégie d’information qui porte sur une approche interactive et participative des participants, a-t-on expliqué.
L’implantation d’une clinique juridique à Korhogo et dans différentes régions de la Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (PALAJ) financé par l’Union européenne (UE), l’UNICEF, le PNUD et l’ONUCI.
Ce projet exécuté sur une période de 23 mois, "vise à renforcer l’offre et la demande de justice en Côte d’Ivoire en permettant aux groupes vulnérables de la population de connaître leurs droits et de savoir comment les faire valoir en justice".
Les 28 participants sont issus des localités de Korhogo, Sinématiali, Dikodougou, M’Bengué, Boundiali, Tengréla et Kouto.
(AIP)
Apk /kp