Abidjan - La 10ème édition de la réunion annuelle de coordination entre la CEDEAO et ses partenaires au développement a été une occasion pour les deux parties de renouveler leurs engagements pour la mise en œuvre des priorités de l’Afrique de l’Ouest telles que la consolidation de la paix et de la sécurité dans la sous-région.
« Nous avons surtout convenu de travailler ensemble et de coordonner nos appuis sur le relèvement de certains défis importants de l’approfondissement du processus d’intégration», a souligné mercredi soir à Abuja le président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, cité par un communiqué de l’institution transmis jeudi à l’AIP.
Dans son mot de clôture de cette rencontre de trois jours, M. Ouédraogo a aussi cité parmi les défis à relever la prise en compte des enjeux de développement des espaces sahélo-sahariens ainsi que celle des réformes douanières, économiques, fiscales et juridiques inhérentes à l’entrée en vigueur, prévue en janvier 2015, du tarif extérieur commun (TEC) de la CEDEAO.
L’amélioration de l’environnement des affaires, la nécessité des investissements transfrontaliers, le développement du capital humain et les questions sociales de même que l’articulation entre le renforcement des capacités et les réformes institutionnelles en cours sont autant d’axes identifiés par la CEDEAO et ses partenaires et autour desquels ils ont décidé de renforcer leur partenariat.
L’engagement d’accompagner et de soutenir les efforts de la CEDEAO a été confirmé, au nom des partenaires au développement, par le représentant résident du système des Nations unies au Nigéria, Daouda Touré, qui a souligné que tous ces «défis majeurs», auxquels il a ajouté le terrorisme et la prolifération des armes légères, requièrent l’attention des agences de développement.
«Ces défis pourraient avoir des impacts socioéconomiques et politiques très importants pour la région tout entière», a dit M. Touré, réitérant l’engagement et le soutien des partenaires et de toute la communauté internationale pour faire face à ces difficultés.
Saluant le leadership de la CEDEAO en matière de bonnes pratiques et cette institution comme modèle de coopération, le fonctionnaire onusien a donné l’assurance que tous les partenaires présents, bilatéraux et multilatéraux, vont continuer à jouer leur rôle et à rechercher les voies et moyens d’améliorer leur partenariat avec cette entité dans la recherche de la paix, la stabilité et le développement pour la région.
Revenant sur l’épidémie à virus Ebola, qui a été au centre des préoccupations des participants à la réunion, le président de la Commission de la CEDEAO a une nouvelle fois réaffirmé la nécessité d’une approche régionale et concertée dans la lutte contre ce fléau, comme il l’avait déjà fait lundi dans son allocution, à l’ouverture des travaux.
«L’intérêt que vous avez d’ores et déjà accordé au plan d’action régional de cette lutte nous rassure quant à votre accompagnement des efforts en cours», a dit M. Ouédraogo, saluant à nouveau les appuis déjà accordés en ce sens aux Etats de la CEDEAO par l’Union européenne, la Banque africaine de développement, la Banque mondiale, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France et Cuba.
Il en a surtout appelé à la solidarité de tous les partenaires pour soutenir les efforts de coordination régionale que mène la CEDEAO à travers son institution régionale qu’est l’OOAS (Organisation ouest-africaine de la santé) et à contribuer au fonds de solidarité régional ouvert à la demande de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation.
cmas
« Nous avons surtout convenu de travailler ensemble et de coordonner nos appuis sur le relèvement de certains défis importants de l’approfondissement du processus d’intégration», a souligné mercredi soir à Abuja le président de la Commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo, cité par un communiqué de l’institution transmis jeudi à l’AIP.
Dans son mot de clôture de cette rencontre de trois jours, M. Ouédraogo a aussi cité parmi les défis à relever la prise en compte des enjeux de développement des espaces sahélo-sahariens ainsi que celle des réformes douanières, économiques, fiscales et juridiques inhérentes à l’entrée en vigueur, prévue en janvier 2015, du tarif extérieur commun (TEC) de la CEDEAO.
L’amélioration de l’environnement des affaires, la nécessité des investissements transfrontaliers, le développement du capital humain et les questions sociales de même que l’articulation entre le renforcement des capacités et les réformes institutionnelles en cours sont autant d’axes identifiés par la CEDEAO et ses partenaires et autour desquels ils ont décidé de renforcer leur partenariat.
L’engagement d’accompagner et de soutenir les efforts de la CEDEAO a été confirmé, au nom des partenaires au développement, par le représentant résident du système des Nations unies au Nigéria, Daouda Touré, qui a souligné que tous ces «défis majeurs», auxquels il a ajouté le terrorisme et la prolifération des armes légères, requièrent l’attention des agences de développement.
«Ces défis pourraient avoir des impacts socioéconomiques et politiques très importants pour la région tout entière», a dit M. Touré, réitérant l’engagement et le soutien des partenaires et de toute la communauté internationale pour faire face à ces difficultés.
Saluant le leadership de la CEDEAO en matière de bonnes pratiques et cette institution comme modèle de coopération, le fonctionnaire onusien a donné l’assurance que tous les partenaires présents, bilatéraux et multilatéraux, vont continuer à jouer leur rôle et à rechercher les voies et moyens d’améliorer leur partenariat avec cette entité dans la recherche de la paix, la stabilité et le développement pour la région.
Revenant sur l’épidémie à virus Ebola, qui a été au centre des préoccupations des participants à la réunion, le président de la Commission de la CEDEAO a une nouvelle fois réaffirmé la nécessité d’une approche régionale et concertée dans la lutte contre ce fléau, comme il l’avait déjà fait lundi dans son allocution, à l’ouverture des travaux.
«L’intérêt que vous avez d’ores et déjà accordé au plan d’action régional de cette lutte nous rassure quant à votre accompagnement des efforts en cours», a dit M. Ouédraogo, saluant à nouveau les appuis déjà accordés en ce sens aux Etats de la CEDEAO par l’Union européenne, la Banque africaine de développement, la Banque mondiale, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France et Cuba.
Il en a surtout appelé à la solidarité de tous les partenaires pour soutenir les efforts de coordination régionale que mène la CEDEAO à travers son institution régionale qu’est l’OOAS (Organisation ouest-africaine de la santé) et à contribuer au fonds de solidarité régional ouvert à la demande de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation.
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