De retour au bercail, après un tour au Bénin, Jnet ne baisse pas les bras. Dans la grande discrétion, la créatrice de mode et accessoiriste prépare la sortir sa nouvelle collection. Dans son futur catalogue, Jnet partage avec les amateurs de l’élégance son propre «coup de cœur», ce qu’elle désirait des années en arrière. D’où «Dreba», le titre emprunté à la langue Bété.
«Cette collection sera très colorée. J’y propose des accessoires très originaux. En général, je travaille avec les perles. Mais cette fois-ci, je fais un clin d’œil au pagne, avec un accent particulier sur le tissus parce que j’ai créé depuis un certain temps, une ligne vestimentaire dans laquelle je mets beaucoup plus les perles en relief. Dans les tenues que le public découvrira, on trouve toute une variété de ces parures», explique la créatrice.
La sortie officielle de cette collection est prévue pour février 2015, dans une salle d’Abidjan, selon Jnet. Mais bien avant, en décembre 2014, elle indique que ce choc de perles sera visible, à Paris ( France). «Au départ, la présentation de cette collection devait être faite, en décembre 2014, au Cameroun, en tant que pays demandeur. Mais étant donné que toutes les conditions n’ont pu être réunies, nous avant dû décaler l’événement, mais aussi changer accessoirement de pays d’accueil», ajoute l’artiste ivoirienne.
En décembre 2011, Jnet avait fait parler d’elle à Cotonou, à travers un précédent événement intitulé «Cœur perlé», organisé au Palais des Congrès de la capitale béninoise où elle s’était repliée, le temps que la crise ivoirienne s’estompe. Un an et demi. C’est le temps que l’artiste ivoirienne a passé au Pays du vodou sans se laisser dépaysée, comme elle le soutient : «Cotonou, c’est un terrain que je connaissais déjà car j’y avais ouvert des années auparavant une boutique pour me représenter. De temps en temps, je passais donc à Cotonou quand mon temps me le permettait.»
Le Mali, le Cameroun, le Togo, le Nigeria, la Côte d’Ivoire et le Bénin ont apporté, chacun, son savoir-faire à cette rencontre. «C’était un salon de trois jours, avec une fenêtre sur les accessoires d’intérieur, qui s’est achevé par un défilé. L’idée était surtout de valoriser les accessoires de mode parce que j’ai constaté nous travaillons en amont avec les stylistes. Seulement, il se trouve que les accessoiristes sont légués au second plan, si nous ne sommes pas royalement ignorées.»
Jnet opère dans la mode et les accessoires depuis 2000. Mais s’y est véritablement installée en 2002. Elle dit avoir atterri dans ce milieu par passion. Ce qui explique son slogan «Un amour de perles». Depuis qu’elle vivait encore en France, elle y tenait et s’offrait cette passion des perles en ses heures perdues. Aujourd’hui, Jnet se sent «libérée» de toute créativité.
D.A
«Cette collection sera très colorée. J’y propose des accessoires très originaux. En général, je travaille avec les perles. Mais cette fois-ci, je fais un clin d’œil au pagne, avec un accent particulier sur le tissus parce que j’ai créé depuis un certain temps, une ligne vestimentaire dans laquelle je mets beaucoup plus les perles en relief. Dans les tenues que le public découvrira, on trouve toute une variété de ces parures», explique la créatrice.
La sortie officielle de cette collection est prévue pour février 2015, dans une salle d’Abidjan, selon Jnet. Mais bien avant, en décembre 2014, elle indique que ce choc de perles sera visible, à Paris ( France). «Au départ, la présentation de cette collection devait être faite, en décembre 2014, au Cameroun, en tant que pays demandeur. Mais étant donné que toutes les conditions n’ont pu être réunies, nous avant dû décaler l’événement, mais aussi changer accessoirement de pays d’accueil», ajoute l’artiste ivoirienne.
En décembre 2011, Jnet avait fait parler d’elle à Cotonou, à travers un précédent événement intitulé «Cœur perlé», organisé au Palais des Congrès de la capitale béninoise où elle s’était repliée, le temps que la crise ivoirienne s’estompe. Un an et demi. C’est le temps que l’artiste ivoirienne a passé au Pays du vodou sans se laisser dépaysée, comme elle le soutient : «Cotonou, c’est un terrain que je connaissais déjà car j’y avais ouvert des années auparavant une boutique pour me représenter. De temps en temps, je passais donc à Cotonou quand mon temps me le permettait.»
Le Mali, le Cameroun, le Togo, le Nigeria, la Côte d’Ivoire et le Bénin ont apporté, chacun, son savoir-faire à cette rencontre. «C’était un salon de trois jours, avec une fenêtre sur les accessoires d’intérieur, qui s’est achevé par un défilé. L’idée était surtout de valoriser les accessoires de mode parce que j’ai constaté nous travaillons en amont avec les stylistes. Seulement, il se trouve que les accessoiristes sont légués au second plan, si nous ne sommes pas royalement ignorées.»
Jnet opère dans la mode et les accessoires depuis 2000. Mais s’y est véritablement installée en 2002. Elle dit avoir atterri dans ce milieu par passion. Ce qui explique son slogan «Un amour de perles». Depuis qu’elle vivait encore en France, elle y tenait et s’offrait cette passion des perles en ses heures perdues. Aujourd’hui, Jnet se sent «libérée» de toute créativité.
D.A
