A l’issue de son assemblée générale qui s’est tenue à Addis Abeba, en Ethiopie, la Confédération africaine de football a désigné samedi les pays devant organiser les éditions 2019, 2021 et 2023 de la Coupe d’Afrique des nations. Et c’est le Cameroun, la Côte d’Ivoire et la Guinée Conakry qui ont été choisis pour abriter ces différentes phases en attendant de désigner en 2015 l’hôte de 2017, la Libye ayant jeté en raison de l’insécurité qui règne dans ce pays depuis la chute du pouvoir Khadafi qui a enregistré la mort du guide.
Le Cameroun qui a abrité la 8ème édition de la CAN en 1972- édition gagnée par le Congo Brazzaville 3-2 au détriment du Mali- aura donc fort à faire pour justifier le choix de la CAF présidée par Issa Hayatou, lui-même Camerounais. Les sites de compétition sont Bafoussam, Douala, Garoua, Limbé et Yaoundé/ Olembé.
La Côte d’Ivoire, pays d’accueil de la compétition phare de la CAF en 1984, va être mise à contribution pour 2021. Elle devra agir avec célérité pour être prête le moment venu car les travaux de construction et de réhabilitation coûtent cher. Dans un pays où l’économie ne se porte pas comme un charme, il est préférable de commencer maintenant.
Abidjan, Bouaké, Korhogo et San Pedro sont les villes retenues pour abriter les matches.
C’est le lieu de dire bravo à Feh Kessé, président du Comité de pilotage de la candidature ivoirienne, ainsi qu’à tous ceux qui ont travaillé au choix de la Côte d’Ivoire.
La Guinée dont le choix suscite beaucoup d’interrogations en ce que l’édition qu’elle doit accueillir n’était pas programmée est le nouveau venu en matière d’organisation. Elle sera à sa grande première en 2023. Le moment de la joie terminé, les autorités guinéennes devront mobiliser les moyens requis pour faire face au défi de la réussite.
Les équipes qualifiées évolueront à Conakry, Kankan, Labé et Nzérakoré, en Guinée forestière.
R.O.V
Le Cameroun qui a abrité la 8ème édition de la CAN en 1972- édition gagnée par le Congo Brazzaville 3-2 au détriment du Mali- aura donc fort à faire pour justifier le choix de la CAF présidée par Issa Hayatou, lui-même Camerounais. Les sites de compétition sont Bafoussam, Douala, Garoua, Limbé et Yaoundé/ Olembé.
La Côte d’Ivoire, pays d’accueil de la compétition phare de la CAF en 1984, va être mise à contribution pour 2021. Elle devra agir avec célérité pour être prête le moment venu car les travaux de construction et de réhabilitation coûtent cher. Dans un pays où l’économie ne se porte pas comme un charme, il est préférable de commencer maintenant.
Abidjan, Bouaké, Korhogo et San Pedro sont les villes retenues pour abriter les matches.
C’est le lieu de dire bravo à Feh Kessé, président du Comité de pilotage de la candidature ivoirienne, ainsi qu’à tous ceux qui ont travaillé au choix de la Côte d’Ivoire.
La Guinée dont le choix suscite beaucoup d’interrogations en ce que l’édition qu’elle doit accueillir n’était pas programmée est le nouveau venu en matière d’organisation. Elle sera à sa grande première en 2023. Le moment de la joie terminé, les autorités guinéennes devront mobiliser les moyens requis pour faire face au défi de la réussite.
Les équipes qualifiées évolueront à Conakry, Kankan, Labé et Nzérakoré, en Guinée forestière.
R.O.V