La Côte d’Ivoire va reprendre, ‘’ dès la semaine prochaine’’, le trafic aérien avec les pays voisins touchés par le virus Ebola, a annoncé, jeudi, le Président Alassane Ouattara à 69ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies à New-York.
‘’Nous envisageons, dès la semaine prochaine, la reprise du trafic aérien avec nos voisins et avons autorisé l’utilisation des ports et aéroports pour accueillir les contingents américains’’ a déclaré le chef de l’Etat ivoirien à la faveur d'une réunion de "haut niveau" sur l'épidémie d'Ebola qui sévit en Afrique de l'ouest.
La Côte d’Ivoire, selon M. Ouattara, qui partage des frontières avec la Guinée et le Libéria ‘’deux pays frères’’ gravement touchés par l’épidémie d’Ebola, est de par cette position, ‘’un pays à fort risque’’.
"C'est conscient de cette menace, que mon gouvernement a mis rapidement en œuvre l'ensemble des recommandations de l'OMS et a adopté des mesures préventives d'urgence’’, a-t-il indiqué, insistant sur l'ouverture de "couloirs humanitaires et sanitaires d'urgence" par "extrême nécessité sanitaire".
Rappelant la contribution de son pays, à hauteur de 500 millions FCFA au fonds de soutien de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Alassane Ouattaraa exhorté la communauté internationale à ‘’ mettre également l’accent avec la même intensité’’ sur le soutien aux ‘’ pays à risque’’ à l’instar des ‘’ pays déjà affectés’’ par le virus.
C’est la condition selon, M. Ouattara, pour ‘’ éviter une propagation incontrôlable de la maladie’’ qui n’est pas, ‘’ une fatalité et que nous pouvons vaincre à travers la science et la solidarité entre nos Etats ‘’, a-t-il ajouté.
L'épidémie a déjà fait plus de 2.500 victimes et se caractérise par sa rapidité de propagation "sans précédent" et ses conséquences sociales, économiques et sécuritaires, a poursuivi Alassane Ouattara, appelant à la mobilisation pour éviter que " les projections les plus inquiétantes se réalisent’’.
‘’Nous envisageons, dès la semaine prochaine, la reprise du trafic aérien avec nos voisins et avons autorisé l’utilisation des ports et aéroports pour accueillir les contingents américains’’ a déclaré le chef de l’Etat ivoirien à la faveur d'une réunion de "haut niveau" sur l'épidémie d'Ebola qui sévit en Afrique de l'ouest.
La Côte d’Ivoire, selon M. Ouattara, qui partage des frontières avec la Guinée et le Libéria ‘’deux pays frères’’ gravement touchés par l’épidémie d’Ebola, est de par cette position, ‘’un pays à fort risque’’.
"C'est conscient de cette menace, que mon gouvernement a mis rapidement en œuvre l'ensemble des recommandations de l'OMS et a adopté des mesures préventives d'urgence’’, a-t-il indiqué, insistant sur l'ouverture de "couloirs humanitaires et sanitaires d'urgence" par "extrême nécessité sanitaire".
Rappelant la contribution de son pays, à hauteur de 500 millions FCFA au fonds de soutien de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Alassane Ouattaraa exhorté la communauté internationale à ‘’ mettre également l’accent avec la même intensité’’ sur le soutien aux ‘’ pays à risque’’ à l’instar des ‘’ pays déjà affectés’’ par le virus.
C’est la condition selon, M. Ouattara, pour ‘’ éviter une propagation incontrôlable de la maladie’’ qui n’est pas, ‘’ une fatalité et que nous pouvons vaincre à travers la science et la solidarité entre nos Etats ‘’, a-t-il ajouté.
L'épidémie a déjà fait plus de 2.500 victimes et se caractérise par sa rapidité de propagation "sans précédent" et ses conséquences sociales, économiques et sécuritaires, a poursuivi Alassane Ouattara, appelant à la mobilisation pour éviter que " les projections les plus inquiétantes se réalisent’’.
